Publicité

Témoignage : "La sclérose en plaque ne me définit pas"

"Lorsque des fourmillements très désagréables envahissent ma main gauche, il y a huit ans, je balaie d’abord le symptôme d’un : “J’ai dû dormir sur mon bras”, tandis que l’heureux week-end chez des amis se poursuit. Mais leur persistance, doublée d’une sensation similaire au ventre, laisse l’inquiétude s’immiscer. Le père de mon mari étant médecin, il m’oriente vers un neurologue, qui voit dans mes troubles sensitifs la traduction du stress et de la fatigue, et il me conseille le repos. Toutefois, mon beau-père étant l’un de ses amis, il me prescrit malgré tout, “pour vérifier”, une IRM cérébrale.

Sans cela, j’aurais sans doute amorcé une longue errance diagnostique, faute de présenter les symptômes – troubles visuels et/ou de l’équilibre et/ou une incontinence urinaire – qui surviennent fréquemment lors de la première poussée de sclérose en plaques (SEP), une maladie auto-immune du système nerveux central. Dans les jours qui suivent, s’ajoutent des décharges électriques dans le dos, quand je me penche, ainsi qu’une immense fatigue et la sensation que mes os “sonnent” creux. Je découvre sur Internet qu’il peut s’agir de la SEP. Une angoisse abyssale me submerge. “Vais-je mourir ? Combien de temps me reste-t-il ? Vais-je être handicapée ? Me sera-t-il possible d’avoir des enfants?

Lire aussi : Témoignages : atteintes de sclérose en plaque, elles ont choisi d'avoir un bébé

L’IRM accroît mes peurs, (...)

Lire la suite sur Topsante.com

Des "oignons qui ne font pas pleurer" débarquent en rayons. Mais au fait, pourquoi ça fait pleurer les oignons ?
Connaissez-vous l'aniridie, soit la possibilité de ne pas avoir d'iris dans les yeux ?
Prévention du suicide : quels dispositifs et aides pour se faire aider ?
Cancer : voici les facteurs de risque les plus connus (et ceux qui le sont moins)
9 aliments très courants à ne surtout pas donner à son chat