Chirurgie Esthétique
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "Je me suis fait circoncire à 25 ans pour des raisons esthétiques, et ce n'était pas une bonne idée"
Pratiquée dans de nombreuses religions, la circoncision a généralement lieu dans les jours qui suivent la naissance d'un enfant. Elle est donc nettement plus rare chez les adultes, d'autant que cette opération ne met pas tout le monde d'accord, d'un point de vue strictement médical. Mais Julien, lui, y a eu recours bien plus tard : il avait 25 ans quand il a décidé de se faire opérer. Une opération qu'il regrette aujourd'hui.
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "D'origine asiatique, j'ai fait débrider mes yeux. Aujourd'hui, je le regrette"
Source de complexe chez de nombreuses personnes d'origine asiatique, les yeux bridés sont parfois considérés par ces dernières comme trop peu esthétiques, en particulier dans les pays où ils vivent en minorité. Mai, 28 ans, a économisé pendant des années pour pouvoir s'offrir une blépharoplastie pour débrider ses yeux à l'âge de 20 ans. Huit ans plus tard, elle le regrette.
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "Je voulais des abdos sans effort, je les ai eus. J'ai un peu honte d'avoir subi cette opération"
Avoir des abdos sans faire d'efforts ? Oui, c'est possible grâce à la chirurgie esthétique. Il existe d'ailleurs de nombreuses options possibles pour améliorer l'aspect de cette zone, et qui font partie des chirurgies les plus demandées par les hommes, avec les implants capillaires. Pendant longtemps, les prothèses abdominales étaient l'option privilégiée. Mais depuis quelques années, une autre technique est mise en avant : l'etching, ou gravure abdominale.
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "Être des mecs à seins, ça impactait beaucoup notre santé mentale"
Si l'on parle beaucoup de la chirurgie de la poitrine chez les femmes, on a tendance à oublier que certains hommes cisgenres ont eu aussi besoin (ou envie) de modifier cette partie de leur anatomie. C'est le cas de Georges et Jules*, deux frères âgés de 23 et 29 ans, qui ont tous deux souffert d'une gynécomastie.
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "Après ma liposuccion du menton, je ressemblais à un oeuf de Pâques"
Si elle n'a jamais complexé sur ses formes, Mélissa, 25 ans, a toujours détesté une partie bien précise de son corps : son double menton. Pour résoudre le problème, après avoir longuement hésité et économisé, elle s'est décidée à subir une liposuccion du menton, aussi appelée lipoaspiration cervicale. Une opération qui a changé la vie de la jeune femme, malgré une grosse frayeur post-opératoire.
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "J'ai subi 17 opérations pour avoir un visage parfaitement symétrique"
Il suffit de se regarder dans le miroir pour le constater : la plupart des visages ne sont pas symétriques. Parfois, il suffit d'un grain de beauté pour créer un décalage. Parfois, c'est un sourire un peu tordu, un oeil plus petit que l'autre, un sourcil plus bas. La plupart des gens remarquent à peine ces détails, d'autres apprécient ces différences. Mais pour Juliette, cette asymétrie était devenue une véritable obsession.
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Chirurgie esthétique, à la vie à la mort : "Je voulais devenir Miss France, mais mes bras étaient trop grassouillets"
"Quand j'y repense : je me demande ce qui m'est passé par la tête." Prune a 34 ans, et pour ses 20 ans, elle a décidé de s'offrir une liposuccion des bras. La pratique est moins connue que celle qui vise à affiner la taille ou encore les cuisses, et pourtant, cette opération de chirurgie esthétique qui consiste à aspirer les graisses localisées n'est pas si rare. Elle est simplement peu évoquée.