On a testé « l’Oracle De Vinci » et voici ce qu’on en a pensé

Chez ELLE, on a décidé de tester des oracles et des tarots pour que vous n’ayez pas à le faire. Voici notre crash test du très baroque « Oracle de Vinci », entre peinture classique et tatouage.

Lorsque l’on aime tirer les cartes, la quête du bon oracle ou du tarot parfait peut s’avérer aussi périlleuse que celle de l’âme sœur. Nombreux sur les étagères des librairies (encore plus depuis le retour en grâce de l’ésotérisme), le jeu divinatoire se décline à l’infini. Et d’ailleurs, il ne sert plus seulement à décrypter l’avenir mais aussi et surtout à comprendre son état présent. L’oracle est devenu un véritable outil d’introspection… qui marche encore mieux si l’esthétique dudit jeu nous parle. L’oracle « De Vinci Codex Divinato » (Trédaniel), sorti le 21 novembre 2024 est fait pour les esthètes. Ceux qui flânent au Louvres autant que sur Instagram, puisqu’il a été conçu par deux artistes qui font parler d’eux sur les réseaux. Voglio Bene (Bénédicte Picolillo) pour l’ambiance gothique et Sandy Tatoo (Sandytatoo Izilovemi sur Instagram) pour la touche rebelle. On vous livre nos premières impressions sur cet oracle, testé à la rédaction.

Oracle de Vinci : premières impressions

À l’ouverture, le jeu est présenté dans un petit pochon en tissu. Ce n’est pas si courant et assez appréciable, surtout lorsqu’il faut trimballer son oracle un peu partout. Le jeu se compose de 44 cartes, un nombre quelque peu limité lorsqu’on le compare à un tarot de Marseille classique de 78 cartes. En revanche, elles sont assez claires à interpréter. Numérotées, chacune comporte une indication en trois mots....

Lire la suite de l'article sur Elle.fr

A lire aussi