Son toit est dévasté par la grêle, elle se fait arnaquer lors des travaux de réparation

Les problèmes n'en finissent pas depuis que la grêle s'est abattue le 20 juin dernier sur la petite commune de Taillan-Médoc, en Gironde. Si les sinistrés ont lancé des chantiers de réparation de leur toit, certains auraient été victimes d'arnaques, rapporte France 3 Nouvelle Aquitaine, mercredi 5 septembre. Malfaçons, surfacturations, chantier jamais achevé... Voici la liste des épreuves qu'a dû traverser Julie, dont le toit a été littéralement criblé de grêlons gros comme des balles de tennis. Après un premier devis qu'elle juge exorbitant, la sinistrée accepte une autre proposition.

Elle paie un premier acompte de 15.000 euros. Mais dès la deuxième semaine, l'entreprise lui réclame le même montant. Sans ce paiement, la société la menace de réserver les tuiles, particulièrement demandées en raison du nombre de toits devant être réparés, à un autre chantier. "Il y a des gens qui attendent", auraient-ils déclaré. La victime décide alors de payer pour ne pas se retrouver sans toit. Le chantier reprend, jusqu'à ce que ces derniers lui demandent la troisième partie du montant. Cette fois, l'assureur refuse de valider le montant. Les artisans ont alors cessé le chantier et n'ont plus donné de nouvelles, rapportent nos confrères.

Problème : l'entreprise n'était ni dotée d'une assurance, ni inscrite au registre des métiers. Et surtout, "tout est de travers", déplore la jeune femme à France 3. Aucune tuile n'est alignée, et le faîtage est monté à l'envers. Car sur le moment, la victime (...)

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