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« Il y a toujours quelqu’un chez nous »

Cette semaine, Fabien répond à une lectrice qui ne supporte plus le besoin de son compagnon de vivre en tribu.

Votre question

Cher Fabien,

Je vis avec un homme qui a passé toute sa jeunesse dans une roulotte, entouré de circassiens et d’animaux divers et variés. A une époque, ses parents géraient un cirque, puis après ce fut une fête foraine. Bref, vous voyez le topo.

Aujourd’hui, même si je comprends ce passé, je dois dire que j’ai du mal à gérer cet héritage. En effet, il y a toujours quelqu’un qui passe chez nous. Et c’est Dédé pour le pastaga, puis Jean-Daniel pour le petit noir, etc. Ils viennent à n’importe quelle heure !

Je pensais qu’avec l’arrivée de notre premier bébé, ça allait changer, mais non, pensez donc : ils adorent les enfants !

Je songe à mettre un ticket d’entrée à 2 euros chez nous, et comme ça j’arrête de travailler dans 3 ans !

En tout cas, tout cela est très dur et épuisant pour moi et je ne sais comment aborder le sujet avec mon homme sans qu’il prenne ça comme une remise en cause de son style de vie. Une idée ?

L'avis de Fabien

Chère féminaute,

C’est idiot, mais j’ai envie de vous demander si votre mari avait une spécialité quelconque lorsqu’il travaillait dans un cirque. C’est quelque chose qui m’a toujours fasciné, la capacité à jongler ou à faire du trapèze – ou bien à faire des nœuds avec des queues de cerise, même si ça n’a aucun rapport. Je ne suis pas sûr que ces capacités servent tous les jours (à moins que vous ayez un lion comme animal...

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