Travail : voici les 10 métiers les plus recherchés par les employeurs, selon une étude de Pôle Emploi
La crise économique n’épargne aucun secteur, y compris celui de l’emploi : en témoigne l’enquête “Besoin en main d'œuvre” publiée le 7 avril par Pôle Emploi et qui fait le point sur l’état du monde professionnel après avoir sondé 424 000 établissements entre octobre et décembre 2022. L’étude, qui existe depuis 20 ans, a pour ambition d’anticiper les difficultés de recrutement, mais aussi d’améliorer l’orientation des demandeurs d’emplois selon l’évolution du marché du travail et les métiers porteurs.
Si l’année 2023 rebat les cartes des secteurs d’activité sur lesquels miser, “les entreprises continuent de recruter”, affirme Stéphane Ducatez, directeur général adjoint de Pôle Emploi cité par le Huffington Post. En effet, l’enquête comptabilise plus de 3 millions de projets de recrutement pour 2023, soit seulement 0,2% de moins que l’an dernier. Mais c’est la difficulté de ces embauches qui s’est intensifiée, 61% de ces projets de recrutement étant considérés “difficiles” soit 3 point de plus qu’en 2022. Une difficulté qui s’explique par l’insuffisance des candidats (85%), l’inadéquation de leurs profils (79%), le manque de ressources financières (16%) et un accès parfois compliqué au lieu de travail (16%), peut-on lire sur Version Femina. Si l’enquête fait état des nombreux obstacles pour concrétiser ces embauches, elle en profite pour révéler la liste des 10 métiers les plus convoités en France.
Parmi les métiers les plus recherchés, on retrouve les saisonniers de l’agriculture, (...)
(...) Cliquez ici pour voir la suite
Travail, relations, finances... Voici comment prendre des décisions facilement
Les Français, des flemmards ? Une étude révèle que nous faisons partie des plus gros travailleurs d'Europe
Le mariage des enfants ne disparaîtra pas avant 200 ans, selon l’Unicef
Pour être plus heureux dans votre vie professionnelle, vous devriez faire le ménage de printemps !
Surveiller ses salariés en télétravail : pourquoi 2/3 des entreprises françaises vont continuer