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Ukraine, guerre Israël-Hamas... Comment préserver sa santé mentale face aux photos et vidéos choquantes de l'actualité ?

Pexels

Victimes ensanglantées, maltraitées, bombardements dévastateurs, enfants en pleurs... Le 7 octobre dernier, le Hamas a mené une série d'attaques contre Israël, faisant plusieurs centaines de morts, de blessé·es, mais aussi d'otages. Dans les médias, impossible de passer à côté de l'horreur, de ces images de civils victimes des exactions du Hamas, ainsi que de la riposte israélienne de la bande de Gaza, prison à ciel ouvert où les civils sont privés d'aide humanitaire et subissent des attaques quotidiennes. Des informations qui ont un impact sur notre santé mentale, mêlant colère, tristesse, sentiment d'impuissance, mais aussi volonté de toujours rester informé·e sur l'actualité.

Comme le souligne The Guardian, certain·es ont en effet du mal à trouver un équilibre entre leur désir de rester informé·e et le fardeau émotionnel que cette crise peut représenter, entraînant parfois un "traumatisme secondaire", soit un phénomène dans lequel des individus ressentent des symptômes de traumatisme après avoir été témoins ou avoir entendu parler d'événements traumatisants survenus à d'autres, même s'ils ne sont pas directement impliqués. Conflit Israël-Hamas, guerre en Ukraine, voici, selon une spécialiste, comment rester informé sans succomber à ce traumatisme secondaire.

"Se sentir affecté par la souffrance des autres est un signe d’empathie et non de faiblesse", rappelle ainsi dans un premier temps Diane Young, spécialiste de la toxicomanie et des traumatismes et thérapeute à South Pacific (...)

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