Vidéos

  • Tabou - Claire, 26 ans : "Si le corps médical s’était comporté normalement, je n’aurais peut-être eu ce sentiment de culpabilité"

    Claire a 26 ans. Après être tombée accidentellement enceinte en décembre, elle choisit d’avorter en janvier 2023. La jeune femme a vécu l’évènement comme un traumatisme. Aujourd’hui, elle prend la parole pour adresser un message aux jeunes femmes qui optent pour l’avortement en leur rappelant que c’est un droit légitime. Avec ce témoignage, Claire espère que la honte qu’on lui a fait ressentir change de camp.

  • Tabou - Claire, 26 ans : "Même si c’est un droit en France, il y en a toujours pour te rappeler que "l’avortement, ce n’est pas bien, que tu tues quand même quelqu’un""

    Claire a 26 ans. Après être tombée accidentellement enceinte en décembre, elle choisit d’avorter en janvier 2023. À cause des nombreuses remarques des médecins qui l'ont suivie dans le parcours, la jeune femme est ressortie traumatisée et dit avoir vécu un épisode dépressif. 

  • Tabou - Claire, 26 ans : "Elle m'a fait écouter le coeur du foetus lors de l’échographie alors que c’était une consultation pour un avortement"

    Claire a 26 ans. Après être tombée accidentellement enceinte en décembre, elle choisit d’avorter en janvier 2023. La jeune femme a consulté plusieurs praticiens dont une gynécologue qui lui a fait écouter le coeur du foetus lors de l’échographie pour la datation de la grossesse. Une pratiquement totalement illégale selon le Planning familial.

  • Tabou - Claire, 26 ans : "Je me suis sentie comme une personne dégueulasse, qui allait tuer quelqu’un en bonne santé"

    Claire a 26 ans. Après être tombée accidentellement enceinte en décembre, elle choisit d’avorter en janvier 2023. La jeune femme a vécu l’évènement comme un traumatisme, la faute à un corps médical réfractaire et culpabilisant. Elle nous livre son témoignage.

  • Marine Lorphelin : "Pendant la première crise, j'ai paniqué, je ne comprenais pas ce qu'il se passait"

    Couronnée Miss France en 2013, Marine Lorphelin a rapidement retrouvé les bancs de l'université de médecine. Diplômée en 2022, elle a d'abord commencé à travailler en tant que médecin généraliste en Nouvelle-Calédonie. Récemment séparée de son compagnon après neuf ans de vie commune, la jeune femme est de retour en métropole et s'est installée en colocation à Paris, où elle fait des remplacements avant de peut-être un jour ouvrir son cabinet. Également très active sur les réseaux sociaux, Marine Lorphelin distille ses conseils santé, sport et nutrition sur Instagram, auprès de plus de 990 000 abonnés. Pour aller plus loin, elle vient de publier un livre "En pleine forme", fin août, sur le sujet. Dans son ouvrage, la médecin revient sur les crises d’angoisse, qu’elle a elle-même expérimentées en quatrième année de médecine. Marine Lorphelin insiste sur l’importance de se connaître soi-même et de découvrir ses propres mécanismes et réactions pour mieux apprivoiser l’anxiété : "J'ai commencé à analyser le pourquoi du comment j'en étais arrivée à faire des crises d'angoisse. J'ai découvert que j'étais hyper anxieuse, du coup il fallait que je mette en place des techniques pour améliorer ma tolérance à cette anxiété.". 

  • Marine Lorphelin : " Pendant les crises, on peut avoir des diarrhées, voire même une sensation de mort imminente"

    Couronnée Miss France en 2013, Marine Lorphelin a rapidement retrouvé les bancs de l'université de médecine. Diplômée en 2022, elle a d'abord commencé à travailler en tant que médecin généraliste en Nouvelle-Calédonie. Récemment séparée de son compagnon après neuf ans de vie commune, la jeune femme est de retour en métropole et s'est installée en colocation à Paris, où elle fait des remplacements avant de peut-être un jour ouvrir son cabinet. Également très active sur les réseaux sociaux, Marine Lorphelin distille ses conseils santé, sport et nutrition sur Instagram, auprès de plus de 990 000 abonnés. Pour aller plus loin, elle vient de publier un livre "En pleine forme", fin août, sur le sujet. Marine Lorphelin revient sur les crises d’angoisse, qu’elle a elle-même expérimentées en quatrième année de médecine. Elles peuvent avoir des effets dévastateurs pour la santé : "Des palpitations, la sensation d'être gêné pour respirer, des troubles digestifs, des troubles du transit, avec des diarrhées notamment. On a une sensation de panique, voire même de mort imminente. Il peut y avoir aussi des schémas de pensée négatives et angoissantes.". 

  • Marine Lorphelin : "Élue Miss France, je me suis dit 'C'est bizarre que personne ne remarque mon nez, qui n'est pas très beau'"

    Couronnée Miss France en 2013, Marine Lorphelin a rapidement retrouvé les bancs de l'université de médecine. Diplômée en 2022, elle a d'abord commencé à travailler en tant que médecin généraliste en Nouvelle-Calédonie. Récemment séparée de son compagnon après neuf ans de vie commune, la jeune femme est de retour en métropole et s'est installée en colocation à Paris, où elle fait des remplacements avant de peut-être un jour ouvrir son cabinet. Également très active sur les réseaux sociaux, Marine Lorphelin distille ses conseils santé, sport et nutrition sur Instagram, auprès de plus de 990 000 abonnés. Pour aller plus loin, elle vient de publier un livre "En pleine forme", fin août, sur le sujet. Comme de nombreuses jeunes filles, Marine Lorphelin révèle avoir manqué de confiance en elle à l'adolescence. Et, bien qu'élue plus belle femme de France en 2013, ses insécurités l'ont poursuivie quelques temps : "J'ai eu ma période où j'étais très complexée, notamment quand j'étais ado. Miss France m'a quand même aidée à me libérer de pas mal de ces complexes. Je voyais qu'en fait, tout le monde s'en fichait de ce que moi je pensais disgracieux ou pas très joli, notamment mon nez.".

  • Marine Lorphelin : "Je me suis plongée dans le sport, et en parallèle, j'ai un peu arrêté de manger"

    Couronnée Miss France en 2013, Marine Lorphelin a rapidement retrouvé les bancs de l'université de médecine. Diplômée en 2022, elle a d'abord commencé à travailler en tant que médecin généraliste en Nouvelle-Calédonie. Récemment séparée de son compagnon après neuf ans de vie commune, la jeune femme est de retour en métropole et s'est installée en colocation à Paris, où elle fait des remplacements avant de peut-être un jour ouvrir son cabinet. Également très active sur les réseaux sociaux, Marine Lorphelin distille ses conseils santé, sport et nutrition sur Instagram, auprès de plus de 990 000 abonnés. Pour aller plus loin, elle vient de publier un livre "En pleine forme", fin août, sur le sujet. L’ex Miss France se livre à coeur ouvert dans son ouvrage. Elle revient sur un épisode assez sombre de sa vie, durant le Covid pour alerter sur les troubles des conduites alimentaires, et les signes qui doivent alerter. "J'ai failli tomber dans les TCA, et je m'en suis rendu compte après. C'était un moment de ma vie où psychologiquement j'étais instable, fragile, c'était pendant la période du Covid, j'étais très isolée je me sentais seule. Je ne suis pas tombée dedans, heureusement, parce que mes proches m'ont alertée. Les proches vont avoir un rôle essentiel pour identifier l'entrée dans ces TCA.". 

  • Marine Lorphelin : "Les cures détox qu'on vous vend sont du pur marketing"

    Couronnée Miss France en 2013, Marine Lorphelin a rapidement retrouvé les bancs de l'université de médecine. Diplômée en 2022, elle a d'abord commencé à travailler en tant que médecin généraliste en Nouvelle-Calédonie. Récemment séparée de son compagnon après neuf ans de vie commune, la jeune femme est de retour en métropole et s'est installée en colocation à Paris, où elle fait des remplacements avant de peut-être un jour ouvrir son cabinet. Également très active sur les réseaux sociaux, Marine Lorphelin distille ses conseils santé, sport et nutrition sur Instagram, auprès de plus de 990 000 abonnés. Pour aller plus loin, elle vient de publier un livre "En pleine forme", fin août, sur le sujet. Forte de son expérience, la médecin déconseille vigoureusement les régimes détox qui pullulent, notamment sur les réseaux sociaux comme Instagram, où de nombreuses publicités à ce sujet sont régulièrement relayées. Pour elle, "le seul régime qui est recommandé finalement c'est de manger sainement, équilibré et de saison. On n'a pas besoin de compléments alimentaires ou de cure pour détoxifier son corps, il le fait tout seul.". 

  • Journée mondiale du droit à l’avortement : en 1974, les femmes sont pour la légalisation de l’avortement en France

    Un an avant l’instauration de la loi Veil sur l’interruption volontaire de grossesse en France, en 1975, un petit micro-trottoir a été réalisé pour sonder les passants sur l’accès à l’IVG en France. Source : images INA

  • "Simone Signoret a renoncé à sa vie affective et sexuelle à 40 ans" : Benjamin Castaldi parle de sa pièce "Bungalow 21"

    Dans une interview accordée à Yahoo, Benjamin Castaldi parle de sa pièce "Bungalow 21" et explique comment sa grand-mSimone Signoret et plus précisément sur comment cette infidélité révélée aux yeux de tous l’a libérée d’une série d’injonctions qui pèsent lourd sur le quotidien des femmes.

  • Syndrome de l'intestin irritable - Audrey Liénard : "J'allais aux toilettes jusqu'à 10 fois par jour. J'avais honte"

    Pendant près de 10 ans, Audrey Liénard est empêtrée dans une errance médicale et subit les effets sévères du syndrome de l'intestin irritable sur son quotidien. "J’allais aux toilettes jusqu’à 10 fois par jour. Faut toujours être sûre d’avoir des toilettes à côté et on n’a pas forcément envie d’y aller à l’école, en open space, à un rencard ou quand on vient d’emménager avec son copain, ce qui a été mon cas." S’ajoute à tous ces handicaps du quotidien, le sentiment de honte. "C’était impossible pour moi d’assumer ces symptômes. J’ai vécu toute cette période en essayant de me retenir au maximum. Ce qui a enclenché encore plus de douleurs pour moi.". 

  • Syndrome de l'intestin irritable - Audrey Liénard : "Pendant 6 mois, je n'ai pas été aux toilettes. J'ai frôlé l'occlusion intestinale"

    Pendant près de 10 ans, Audrey Liénard est empêtrée dans une errance médicale et subit les effets sévères du syndrome de l'intestin irritable sur son quotidien. Pendant près de 6 mois, Audrey est victime de constipation sévère qui l’empêchera d’aller aux toilettes. "J’avais de fausses selles comme on appelle ça". Elle a 24 ans lorsqu’elle est admise d’urgence à l’hôpital car elle est à "deux doigts de faire une occlusion intestinale.".

  • Audrey Liénard : "Cette méthode a été une révolution. En une semaine, je n'ai plus de crises de diarrhées et je n'ai plus mal"

    Depuis qu'elle a 14 ans, Audrey Liénard souffre du syndrome de l'intestin irritable. Pendant 10 ans, elle tombe dans une errance médicale et son quotidien s'articule de douleurs, de diarrhées et de dépression. Après avoir frôlé l'occlusion intestinale, elle découvre la méthode FODMAP, un acronyme de Fermentable Oligo, Di, Monosaccharides And Polyols qui sont, en substance, "des glucides qui fermentent dans l’intestin" nous explique Audrey Liénard. "Dès le lendemain, je l’applique et je retire tout de mon alimentation. Je me rends compte qu’en une semaine, je n’ai quasiment plus de symptômes, que mon ventre a dégonflé, que je n’ai plus mal, que je n’ai plus de crise.". Elle nous explique en quoi consiste cette méthode, reconnue valable scientifiquement, à condition d'être administrée par des professionnels de la nutrition.

  • Julie Fichera (Tous s’est bien passé, merci) : "Avec la GPA, je pensais que j’allais vivre la grossesse comme un homme, mais non"

    "Tout s'est bien passé, merci" (éd. Fayard) relate les parcours de deux femmes liées par un projet des plus communs : devenir maman. Caroline Vigoureux et Julie Fichera vont découvrir le chantier titanesque que cela peut constituer et les divers chemins pour y arriver. "Tout s'est bien passé, merci" est un ouvrage pour démystifier le tabou de l'infertilité. Dans cet ouvrage, elle dénonce aussi l’attitude de la société à faire porter le poids de l’infertilité sur la femme. "Quand on a commencé la GPA avec mon conjoint, on pensait qu’on allait vivre la grossesse de façon équitable. Je me disais que j’allais peut-être vivre cette grossesse comme un homme et qu’on se retrouverait là-dedans. Avec du recul, on se rend compte que non, j’ai vécu cette grossesse comme une femme avec le regard que la société pose sur les femmes." relate Julie Fichera.

  • Julie Fichera (Tout s'est bien passé, merci) : "J'ai vu mon enfant naître du corps de quelqu'un d'autre"

    "Tout s'est bien passé, merci" (éd. Fayard) relate les parcours de deux femmes liées par un projet des plus communs : devenir maman. Caroline Vigoureux et Julie Fichera vont découvrir le chantier titanesque que cela peut constituer et les divers chemins pour y arriver. Julie Fichera a 16 ans lorsqu'elle apprend qu'elle est atteinte du syndrome MRKH, une malformation de l'utérus. Avec son compagnon Yoann, ils décident de se lancer dans une GPA aux Etats-Unis. La directrice de théâtre relate tous les tourments qui l’ont traversée au cours de ces neufs mois de gestation. Son témoignage éclaire sur toute la complexité d’être mère d’un enfant que l’on n’a pas porté. Julie Fichera éprouvera simultanément une immense gratitude mais aussi de la jalousie et de la frustration envers Samantha. Elle sera animée par des peurs injustifiables malgré la relation et la bonne entente qu’elle noue avec la femme porteuse. « Ce n’est pas sa conséquence que de voir naître son enfant du corps de quelqu’un d’autre » avoue Julie au micro de Yahoo.

  • Caroline Vigoureux (Tout s’est bien passé, merci) : "On s’est rendu compte avec cette phrase, qu’on alimentait nous-mêmes le tabou de l’infertilité"

    "Tout s'est bien passé, merci" (éd. Fayard) relate les parcours de deux femmes liées par un projet des plus communs : devenir maman. Caroline Vigoureux et Julie Fichera vont découvrir le chantier titanesque que cela peut constituer et les divers chemins pour y arriver. "Tout s'est bien passé, merci" est un ouvrage pour démystifier le tabou de l'infertilité.

  • Caroline Vigoureux (Tout s’est bien passé, merci) : "Je devais faire le deuil de l’enfant que je porte tout en ayant le bonheur de celui qui va naître"

    Si la procréation est souvent résumée à un phénomène naturel impliquant deux parties, les différents témoignages sur la PMA, la procréation médicalement assistée, traduisent toute la complexité de la réalité. Dans le livre "Tout s'est bien passé, merci" (éd.Fayard) Caroline Vigoureux l’a expérimentée avec son mari. Au cours de sa première grossesse, elle découvre être enceinte de jumeaux. "C’était sans doute lié à la PMA et à la stimulation ovarienne." L’échographie des trois mois lui a révélée que l’un des bébés souffraient d’une grave malformation et a donc eu recours à une interruption volontaire de grossesse. Sa grossesse gémellaire la plonge dans un abîme de douleur et d’espoir. "Je devais faire le deuil de l’enfant que je porte tout en ayant toujours le bonheur de celui qui va naître.". Un sentiment qu’elle garde pour elle. "Evidemment, c’est le genre de choses dont on parle peu quand ça nous arrive. Donc on se sent encore plus seule au monde quand ça nous arrive et ça participe encore plus au tabou de l’infertilité.".

  • Tanguy Durand, ex-addict au porno : "J'en consommais six heures par jour"

    Alcool, drogues, sexe, alimentation, jeux d’argent ou jeux vidéo… Pour "Addict.e.s", sur Yahoo, anonymes et célébrités ont accepté de briser le tabou de la dépendance. Ils racontent la spirale infernale de l’addiction, l’impact souvent destructeur sur l’ensemble des sphères de leur vie, et le chemin, souvent long et douloureux, vers la sobriété. Addict au porno pendant des années, Tanguy Durand a mis du temps à reconnaître sa dépendance, qui l'a isolé et lui a donné une vision biaisée de la sexualité. Désormais guéri, il a su retrouver une vie sociale et sexuelle plus apaisée. Désireux d'aider d'autres porno-dépendants, il livre aujourd'hui son histoire à Yahoo.

  • Tanguy Durand, ex-addict au porno : "Pour moi, c'était normal d'avoir des rapports sexuels qui durent des heures"

    Alcool, drogues, sexe, alimentation, jeux d’argent ou jeux vidéo… Pour "Addict.e.s", sur Yahoo, anonymes et célébrités ont accepté de briser le tabou de la dépendance. Ils racontent la spirale infernale de l’addiction, l’impact souvent destructeur sur l’ensemble des sphères de leur vie, et le chemin, souvent long et douloureux, vers la sobriété. Tanguy Durand a découvert le porno à 12 ans. Les images et les vidéos s’immiscent très vite dans sa vie, à tel point qu’il ne peut plus s’en passer. Addict, la pornographie a biaisé ses relations sexuelles et sociales. Aujourd’hui guéri, le jeune homme, désireux d'aider d'autres porno-dépendants, livre son histoire à Yahoo. Le jeune homme a sa première relation sexuelle à 18 ans. Très vite, il se rend compte que son addiction a des conséquences concrètes : il a des relations sexuelles codifiées par le porno, avec des attentes irréalistes et beaucoup de déceptions. Il ressent aussi des douleurs à la fin des rapports, et a des difficultés pour éjaculer. Dans le même temps, impossible pour lui de renoncer à la masturbation et au porno, même s’il tente de se l’imposer. Impossible de se voiler la face désormais : il est accro.

  • Tanguy Durand, ex-addict au porno : "J'ai essayé d'arrêter de me masturber, j'ai échoué énormément de fois"

    Alcool, drogues, sexe, alimentation, jeux d’argent ou jeux vidéo… Pour "Addict.e.s", sur Yahoo, anonymes et célébrités ont accepté de briser le tabou de la dépendance. Ils racontent la spirale infernale de l’addiction, l’impact souvent destructeur sur l’ensemble des sphères de leur vie, et le chemin, souvent long et douloureux, vers la sobriété. Tanguy Durand a découvert le porno à 12 ans. Les images et les vidéos s’immiscent très vite dans sa vie, à tel point qu’il ne peut plus s’en passer. Addict, la pornographie a biaisé ses relations sexuelles et sociales. Aujourd’hui guéri, le jeune homme, désireux d'aider d'autres porno-dépendants, livre son histoire à Yahoo. Pour se défaire de son addiction, l’ex-addict a dû fournir des efforts énormes, et repenser son quotidien dans les moindres détails. Un chemin long et semé d'embûches qui s’est révélé efficace : en travaillant sur lui, Tanguy Durand a ainsi réussi à avoir une vie sexuelle plus simple et à nouer de véritables relations. Il espère que son parcours saura motiver d’autres addicts à faire de même.

  • Tanguy Durand, ex-addict au porno : "J’allais vers des vidéos de plus en plus violentes et crades"

    Alcool, drogues, sexe, alimentation, jeux d’argent ou jeux vidéo… Pour "Addict.e.s", sur Yahoo, anonymes et célébrités ont accepté de briser le tabou de la dépendance. Ils racontent la spirale infernale de l’addiction, l’impact souvent destructeur sur l’ensemble des sphères de leur vie, et le chemin, souvent long et douloureux, vers la sobriété. Tanguy Durand a découvert le porno à 12 ans. Les images et les vidéos s’immiscent très vite dans sa vie, à tel point qu’il ne peut plus s’en passer. Addict, la pornographie a biaisé ses relations sexuelles et sociales. Aujourd’hui guéri, le jeune homme, désireux d'aider d'autres porno-dépendants, livre son histoire à Yahoo. Après avoir aperçu des magazines érotiques dans un bureau de presse, Tanguy Durand visionne compulsivement des images, puis des vidéos pornographiques. Il consomme des contenus de plus en plus violents, ce qui n’est pas sans conséquences sur sa santé mentale, mais le valorise, adolescent, auprès de ses camarades. Peu à peu, il devient une encyclopédie du X et rentre sans réellement s’en rendre compte dans un cercle vicieux.

  • Tanguy Durand, ex-addict au porno : "Je regardais du porno au petit-déjeuner, et même en cours"

    Alcool, drogues, sexe, alimentation, jeux d’argent ou jeux vidéo… Pour "Addict.e.s", sur Yahoo, anonymes et célébrités ont accepté de briser le tabou de la dépendance. Ils racontent la spirale infernale de l’addiction, l’impact souvent destructeur sur l’ensemble des sphères de leur vie, et le chemin, souvent long et douloureux, vers la sobriété. Tanguy Durand a découvert le porno à 12 ans. Les images et les vidéos s’immiscent très vite dans sa vie, à tel point qu’il ne peut plus s’en passer. Addict, la pornographie a biaisé ses relations sexuelles et sociales. Aujourd’hui guéri, le jeune homme, désireux d'aider d'autres porno-dépendants, livre son histoire à Yahoo. Le quotidien de Tanguy Durand, ex-porno dépendant, a longtemps été rythmé par les vidéos. Du matin au soir, il consomme ces contenus, parfois jusqu’à six heures par jour, au petit-déjeuner ou même en classe, à l’université. Une habitude qui participe à le marginaliser et dont il ne mesure pas les effets sur sa santé physique et mentale.

  • Margaux Cassan : "J’avais plus peur des hommes habillés dans l’espace public que des hommes nus dans les villages naturistes"

    Margaux Cassan est une jeune philosophe qui a passé une bonne partie de son enfance nue. C’est ce qu’elle raconte dans l’essai "Vivre nu" (éd.Grasset), un ouvrage qui souhaite rendre ses lettres de noblesse au naturisme, une pratique souvent confondue à tort avec le nudisme. À travers le naturisme, la jeune femme s'est reconstruite et parle de "cicatrisation par le nu". Son essai est un hommage à ses origines familiales et une tentative de vulgarisation d'un mode de vie qui pâtit de nombreux lieux communs. "En retirant mes vêtements, j’ai découvert que l’homme dans son état de nature n’était un danger pour personne. Pour ainsi dire, je ne me suis jamais sentie en danger face au sexe mou d’un étranger." Dans sa vulnérabilité, l’homme devient une femme, comme elle. "Je ne sais pas si c’est lié au fait qu’il n’y ait pas d’érection ou si c’est juste une forme de vulnérabilité du corps masculin dans sa nudité qui fait qu’il est moins associé à mon esprit à la prédation." Une idée qu’elle a résumé dans son livre par le fait que les hommes habillés dans l’espace public lui évoquent plus de peur. 

  • Margaux Cassan : "Il n’y a pas plus de sexualité dans un village naturiste. Il y en a même moins"

    "Quand on dit qu’on a passé les vacances avec ses parents, ses grands-parents, sa tante et son oncle tous tout nus, ça crée une sorte de curiosité, d’interrogation sur ce que peut être la nature de la relation entre une jeune fille et ses aïeux en général. Mon parti pris c'est de dire que puisqu’il n’y a pas d’intention sexuelle dans le rapport au corps, le rapport aux autres va être beaucoup plus direct et spontané." Margaux Cassan est une jeune philosophe qui a passé une bonne partie de son enfance nue. C’est ce qu’elle raconte dans l’essai "Vivre nu" (éd.Grasset), un ouvrage qui souhaite rendre ses lettres de noblesse au naturisme, une pratique souvent confondue à tort avec le nudisme. À travers le naturisme, la jeune femme s'est reconstruite et parle de "cicatrisation par le nu". Son essai est un hommage à ses origines familiales et une tentative de vulgarisation d'un mode de vie qui pâtit de nombreux lieux communs.

  • Margaux Cassan : "Quand j’avais 2 ans, mes parents m’ont envoyée dans un village naturiste"

    Margaux Cassan n’a que deux ans lorsque ses parents l’envoient à Bélézy, un village dans le Vaucluse, dans lequel vivent sa tante et son oncle. La particularité de ce lieu ? On s’y déplace nu.  Margaux Cassan est une jeune philosophe qui a passé une bonne partie de son enfance nue. C’est ce qu’elle raconte dans l’essai "Vivre nu" (éd.Grasset), un ouvrage qui souhaite rendre ses lettres de noblesse au naturisme, une pratique souvent confondue à tort avec le nudisme. À travers le naturisme, la jeune femme s'est reconstruite et parle de "cicatrisation par le nu". Son essai est un hommage à ses origines familiales et une tentative de vulgarisation d'un mode de vie qui pâtit de nombreux lieux communs.