Zoom sur les confiseries à croquer

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Fils et petit-fils de chocolatier-confiseur, Nicolas Viollet est tombé très tôt dans la marmite… de sucre bien sûr ! A 12 ans, il fabriquait déjà ses pralines. A 14 ans, il achetait ses premiers moules à chocolats. Héritage familial, vocation, ce métier est aussi une passion. D’où son inquiétude de voir disparaître les écoles spécialisées capables de l’enseigner dans les règles de l’art.

C’est pourquoi il a ouvert, il y a tout juste un an à Ambroise, Le Conservatoire de la confiserie, un lieu unique en France capable de produire toutes les friandises françaises et ainsi de sauvegarder le savoir-faire sucré tricolore.

D’entrée, les gourmands ont un aperçu de ce patrimoine culinaire avec, installée dans une ambiance XIXe siècle, une collection de quelque 2 000 ustensiles, machines, moules employés jadis par ses parents et confrères nougatiers, dragéistes, sucrecuitiers… Le lien entre la théorie et la pratique est vite fait, puisque cet espace « musée » est ouvert sur l’atelier, où les employés sont en action. Les visites organisées chaque après-midi (5 €/ adulte) permettent d’assister à deux fabrications, celles de berlingots, bonbons fourrés, pastilles, nougats, caramels… Elles se complètent durant les vacances d’une nouvelle animation : la réalisation de sa propre sucette.amboise-valdeloire.com/patrimoine-culturel/conservatoire-de-la-confiserie

Depuis vingt ans, la Maison d’Armorine à Quiberon ouvre sa confiserie au public pour montrer la fabrication artisanale de la fameuse (...)

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