Éducation : coopérer plutôt que menacer, la clé d'une relation apaisée
Plutôt que de menacer, amener l'enfant à coopérer est bien plus efficace et assure une relation plus apaisée. Comment faire pour le mettre en place ?
En tant que parent, nous avons parfois tendance à hausser le ton et entrer dans un rapport conflictuel avec notre enfant pour obtenir ce que nous voulons.
Il est l'heure de partir, l'enfant traîne, il retarde le moment de mettre ses chaussures et cela nous agace. Mais si l'on tombe dans la menace, cela risque de braquer encore plus l'enfant et être totalement contreproductif.
À découvrir également : Pourquoi est-ce inutile de dire « calme-toi » à son enfant ?
Se sentant menacé et incompris, l'enfant risque de s'énerver, refuser encore plus, ou à l'inverse, plier sous la peur et enfouir son émotion qui finira, tôt ou tard, par ressortir.
Le rapport de force cache souvent de la peur
Comme l'explique Jean-François Belmonte, auteur, conférencier et créateur de contenu sur son média Papapositive.fr, s'appuyer sur le conditionnement par la peur pour imposer son autorité est malheureusement un comportement assez répandu chez beaucoup de parents.
Par exemple, dans le cas où l'on veut que notre enfant nous donne la main au passage piéton car on a peur qu'il traverse subitement, il est inutile d'être dans un rapport de force plutôt que dans un rapport de confiance.
Voir cette publication sur Instagram
Une publication partagée par Belmonte Jean-François (@papapositivefr)
Le père ou la mère a peut-être été éduqué...