Aspartame : 3 questions que pose la pétition souhaitant son interdiction

L'aspartame est un édulcorant de synthèse au fort pouvoir sucrant et produit en laboratoires.

L’ONG Foodwatch, l’association française la Ligue contre le cancer et l’application française de nutrition Yuka ont lancé mardi une pétition conjointe visant l’interdiction de l’aspartame, un édulcorant sucrant controversé car possiblement dangereux pour la santé.

Faut-il interdire l’aspartame ? Alors que les députés ont adopté ce lundi 3 février, dans le cadre du vote du budget, une hausse de la taxe soda – qui pénalise les produits à la quantité de sucre élevée –, l’édulcorant au fort pouvoir sucrant est de plus en plus utilisé par l’industrie agroalimentaire. Or, son potentiel de dangerosité pour la santé inquiète et, ce mardi 4 février, à l’occasion de la journée mondial contre le cancer, l’ONG Foodwatch, l’association française de la Ligue contre le cancer et l’application française de nutrition Yuka ont lancé mardi une pétition conjointe visant l’interdiction de l’aspartame.

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Objectif affiché de cette pétition, diffusée dans onze pays européens (Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Italie, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse) : « Faire pression sur les institutions européennes afin d’interdire cet additif et demander aux États membres de l’Union européenne d’agir » en précaution, peut-on lire dans un communiqué commun.

C’est quoi le problème avec l’aspartame ?

Présent, selon Foodwatch, dans plus de 6 000 produits et notamment ceux dits « allégés »  comme certains sodas sans sucres, yaourts « 0 % » ou encore chewing-gums, l’aspartame est autorisé depuis 1988 en France et suscite des débats quant aux risques que cet édulcorant artificiel pourrait faire peser sur la...

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