Attention à vos bouillottes : elles peuvent être à l'origine du redoutable "syndrome de la peau toastée"
En hiver, lorsque les températures sont glaciales, tous les moyens sont bons pour se réchauffer. Alors qu’on doit se résoudre, en ces temps de crise énergétique, à ne pas trop forcer sur le chauffage, pour des raisons économiques autant qu’environnementales, il convient d’user d’autres subterfuges pour se tenir au chaud chez soi. On investit dans des plaids cozy, une plus grosse couette dans laquelle s’emmitoufler, mais aussi dans des bouillottes, à remplir d’eau chaude et à placer contre notre corps grelottant.
Le syndrome de la peau toastée, kézako ?
Mais attention, ces dernières sont loin d’être sans danger, surtout lorsqu’elles sont mal utilisées. Afin d’éviter les fuites et ne pas risquer de se brûler, il est important de prendre certaines précautions avant de s’en servir. Il faut notamment veiller à ne pas utiliser d’eau bouillante, à ne pas les remplir à ras bord, mais aussi à vérifier qu’elles soient bien fermées hermétiquement. Les bouillottes doivent être remplacées tous les 2 à 3 ans, étant donné que leur caoutchouc peut se détériorer à force d’utilisation. Pensez donc bien à vérifier leur date de fabrication. Parmi les dangers liés à l’utilisation d’une bouillotte trop chaude, il y a ce qu’on appelle le "syndrome de la peau toastée" ou "l'irritation de la bouillotte". Mise en lumière par Cosmopolitan, cette affection se caractérise par un érythème, une lésion dermatologique, causée par (...)
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