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Audrey Fleurot dit stop aux injonctions liées à la maternité

Dans un entretien pour Paris Match, l’actrice de la mini-série HPI sur TF1 s’est livrée sur son rôle de maman. Audrey Fleurot en a également profité pour dénoncer les injonctions à la maternité qui sévissent dans nos sociétés actuelles.

Des mots francs qui lèvent un tabou. Dans les pages de Paris Match, l’actrice française aborde sans détour la pression liée à la maternité : « il faut être courageuse pour dire non à cette injonction. La société renvoie l'idée qu'on ne peut pas être une femme complète sans être mère ». Devenue maman à 38 ans d’un petit garçon prénommé Lou, Audrey Fleurot, même si elle est aujourd’hui comblée, avoue avoir été influencée par cette norme sociétale. « Je suis ravie d'être mère, je l'ai décidé. Mais on m'aurait dit que j'avais encore dix ans devant moi, je les prenais ».

La course folle à l’éducation parfaite

Un peu plus loin dans l’interview, la star de la série télé Engrenages raconte que certaines mamans l’ont critiquées vis-à-vis du peu de temps qu’elle accordait à son fils en raison de son emploi du temps chargé. "Mon fils est très heureux avec son père", affirme-t-elle, tout en précisant qu’il n’y a pas un parent qui fait mieux les choses que l’autre. Audrey Fleurot déplore également la compétition sévère qui règne entre les parents lorsqu’il s’agit de l’éducation des enfants. « Ils doivent sauter une classe, être bilingue à trois ans, faire cinquante activités, etc… Mon fils est monté sur un vélo à 5 ans et non à 4, et j’étais en panique ». Un discours mêlant humour et sincérité qui fait du bien.

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