Avons-nous (vraiment) besoin de manger plus en hiver ?
Quand le thermomètre commence à chuter, on a souvent envie de rester chez soi, de se camoufler voire d'hiberner, mais aussi de manger. Et de manger plus qu’à la normale. Pourquoi éprouve-t-on ce besoin ? Plaisir coupable ou pas ? C’est l’objet de l'étude menée par Quitoque, leader du marché de la livraison à domicile de panier-repas en France, qui a interrogé* plus de 13.400 Français pour mieux connaître leur pratique alimentaire pendant l'hiver. Décryptage.
L’appétit vient avec le froid
Plus les températures chutent, plus la faim semble difficile à contrôler, c’est ce que semblent indiquer les chiffres puisque 51% des femmes et 59% des hommes déclarent se nourrir davantage quand il fait froid. Pourtant ils sont 91% à rester chez eux et à passer moins de temps à braver le froid. Cette dépression saisonnière excuse-t-elle cet excès de gourmandise ou couvre-t-elle un réel besoin énergétique ?
Augmenter l’apport calorique pour lutter contre le froid ?
Pour se réconforter et se protéger des basses températures, beaucoup se réchauffent le cœur autour de bonnes assiettes réconfortantes. Ils sont en effet en majorité (59% des femmes et 72% des hommes interrogés) à manger des plats plus riches qu'en temps normal et à grignoter plus souvent, pour 65% des hommes contre seulement 51% des femmes.
Plus envie d’une cuisine doudou qu’un réel besoin énergétique
Enfin, même si 86% des Français pensent ressentir la faim plus vite, en hiver. Il semble inutile de manger pour deux. En effet, les experts ont tranché : la faim serait plus réconfortante que réellement liée au froid. On associerait plus par réflexe et envie, hiver à plats généreux, chauds et conviviaux que par besoin d’énergie ou d’instinct de survie.
L'avis de l’expert
« Théoriquement, notre corps doit maintenir une température autour de 37°C. En hiver, cela demande beaucoup plus d'énergie car le froid saisonnier implique des...
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