Booba a « tué » le business des influenceurs selon Julia Paredes

Booba est en croisade contre les « influvoleurs » et c'est visiblement tout le système qui en prend un coup.

Interrogée par Jeremstar, l'influenceuse Julia Paredes, qui vit désormais à Dubaï, a révélé qu'elle avait perdu énormément de revenus depuis que le rappeur a dénoncé les pratiques de certains.

« Il nous a tués ! À partir de ce moment-là, il y a eu toute une polémique autour des influenceurs où là, ça nous a tués au niveau du taf. C'est un gros déclin. Je vais te dire la vérité, il y a des mois, je gagnais 35.000 euros, 35 à 40 K, et après les polémiques, maintenant, on est à des 5.000. C'est réel. Franchement, il nous a tués le business », se lamente-t-elle, avant de s'en prendre au rappeur.

« Je ne trouve pas ça cool parce que la plupart des influenceurs, on a snapé sur ses musiques. Est-ce que nous, on le détruit celui-là ? Non », s'indigne Julia Paredes, qui refuse d'être mise dans le même panier que les autres, notamment celles qui font des « crèmes pour le vagin ».

Les critiques de Booba ont mené le gouvernement français a se pencher un peu plus sur le commerce des influenceurs, Bruno Le Maire faisant voter une loi pour mieux les encadrer. Plusieurs ont reçu un rappel à la loi, dont Illan Castronovo, Capucine Anav, Simon Castaldi, Anthony Matéo, Gaetan Debled et Léa Monchicourt, pour, entre autres, publicités frauduleuses. A ce jour, Julia Paredes n'a pas été inquiétée par la justice pour ses publications et partenariats.