Calogero explique comment Jean-Jacques Goldman l'a aidé à sortir d'une période « un peu compliquée »
Calogero a révélé comment Jean-Jacques Goldman l'avait aidé à terminer une chanson alors qu'il vivait une période « un peu compliquée ».
Invité dans l'émission Le monde d'Élodie sur France Inter mercredi 28 août (24), Calogero est revenu sur la création de son cinquième album studio L'Embellie, sorti en 2009, qui s'est déroulée alors qu'il vivait une période compliquée.
« C'est un album où je sors d'une période un peu compliquée », a-t-il commencé avant d'ajouter : « Typiquement, je l'ai appelé L'Embellie, alors que ce n'était pas du tout l'embellie dans ma tête, mais c'était une force de persuasion. J'avais envie de m'en convaincre et ça me l'a amené l'embellie, finalement. »
Calogero avoue qu'il apprécie désormais ce disque avec le temps, car l'interprète du titre Je marche seul lui a apporté une aide précieuse sur le titre C'est dit.
Le musicien a expliqué qu'ils ont commencé à s'échanger des e-mails et que c'est là que le chanteur de 72 ans a trouvé ce qu'il manquait au morceau.
« Je me rappelle que pour C'est dit, mon thème était un peu sophistique, un peu particulier et Jean-Jacques Goldman me demandait : "Mais Calo, elle est où l'accroche ?", et je n'en savais rien alors il me répondait : "Et bien je la cherche l'accroche et on va la trouver" Et finalement c'est devenu : "On n'est riche que de ses amis, c'est dit" », a-t-il confié.
Dans un entretien datant de l'année dernière accordé à Paris Match, Calogero s'était montré élogieux envers Jean-Jacques Goldman et de la manière dont il s'est éclipsé de la sphère publique.
« J'admire ceux qui ont réussi à partir alors qu'ils étaient au sommet, comme Jean-Jacques Goldman », avait-il confié. Le musicien avait aussi admis qu'il espérait un jour le retour de la star. « S'il le fait, je serai son bassiste, il n'aura pas le choix ! », avait-il déclaré avec humour.
