Cannes 2024 : que vaut « Furiosa : une saga Mad Max » ?

La Croisette a découvert l’enfance de Furiosa. Qu’en a-t-on pensé ?

Un vent de sable chaud a soufflé sur la Croisette, avec la présentation hors compétition de « Furiosa : une saga Mad Max ». Neuf ans après « Mad Max : Fury Road », acclamé à  Cannes, George Miller retrouve son héroïne Furiosa pour un cinquième opus. Mais cette fois, sans ledit Max, et c’est  Anya Taylor-Joy qui reprend le rôle précédemment incarné par Charlize Theon. L’actrice, découverte dans la série « Le jeu de la dame », prend là son premier grand rôle sur grand écran.

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D'Alyla Browne à Anya Taylor-Joy

Dans ce nouveau film, on se concentre sur l’enfance de Furiosa.  George Miller nous entraîne dans les premières années de Furiosa, incarnée par Alyla Browne, parfaite petite fille en colère qui campe le personnage pendant près d’une heure. Elle est la révélation du film. La jeune Furiosa est enlevée par le terrible Dementus, incroyable Chris Hemsworth, méconnaissable avec son faux nez, puis est donnée à Immortan Joe, où elle apprend la mécanique, et va nourrir son désir de vengeance. Arrive alors Anya-Taylor Joy, prête à en découdre avec ses démons.

La recette habituelle qui a fait le succès de la saga prend encore et donne un résultat délicieux, même s’il n’est pas savamment mesuré. Les courses poursuites démentielles, la pyrotechnie à outrance, les costumes et maquillages fous… tout est too much, et...

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