Capucine Anav en larmes après son cambriolage

Dur retour à la réalité pour Capucine Anav qui a annoncé hier sur Instagram avoir été cambriolée pendant qu’elle profitait d’un séjour au ski avec son compagnon, Victor, et leur fille, Lola.

La comédienne et influenceuse de 32 ans a été prévenue de l’infraction la semaine dernière, « dans la nuit de jeudi à vendredi », par le service d’alarmes de son domicile. Elle a tout de même choisi avec son compagnon de continuer à profiter « au maximum » de leur séjour en famille et de constater les dégâts à leur retour.

Sauf qu’une fois rentrée, c’est le choc. Capucine Anav montre quelques images de son logement dégradé par le passage des cambrioleurs, avant de raconter l’ensemble des événements à sa communauté.

« Je suis choquée, parce qu’ils m’ont tout pris. La porte, elle est défoncée », raconte-t-elle, vite rattrapée par les larmes. « Donc ça va, on a un agent de sécurité avec nous, tout va être mis en place pour mettre une sécurité au top du top… mais je ne m’attendais pas à ça en fait. »

L’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste! a tenté de relativiser en remarquant que l’important était que « tout le monde soit en bonne santé », même si parmi les biens dérobés comptaient des objets de valeur, dont certains venant de son grand-père. Saisie par l’émotion, elle reconnaît tout de même qu’elle n’avait « pas hâte de rentrer ».

« Même si ce n’est que du matériel, ça fait quand même très bizarre de rentrer… de voir le bazar, de sentir que quelqu’un est venu chez vous… Enfin quelqu’un... Ils étaient trois », révèle-t-elle, tout en exprimant sa reconnaissance envers les services de sécurité et de la police qui a ouvert une enquête.

Capucine Anav a aussi donné des nouvelles rassurantes à sa communauté aujourd’hui après le bilan émotionnel de la veille. « J’ai plutôt bien dormi (…) On a un vigile de toute façon, ça me rassure énormément », a-t-elle concédé, ajoutant vouloir préserver sa fille d’un an de toutes ces émotions. « Je vous avoue que j’ai fait des petits cauchemars quand même, mais je relativise en me disant que ça aurait pu être plus grave… qu’on aurait pu être là. »