C'est quoi le "Lucky Girl Syndrome", cette méthode qui nous fait aller mieux ?

C'est quoi le
C'est quoi le "Lucky Girl Syndrome", cette méthode qui nous fait aller mieux ? - Adobe Stock

"Lucky Girl Syndrome" : derrière ce drôle de mot-clé qui cartonne sur TikTok, une méthode d'autosuggestion plutôt intrigante. On vous explique tout.

"Le syndrome de la fille chanceuse". Ainsi s'intitule un phénomène devenu viral sur les réseaux sociaux. Sur TikTok, plateforme particulièrement populaire auprès des jeunes générations, le "Lucky Girl Syndrome" fait effectivement l'objet de vidéos abondamment visionnées. Mais qu'est-ce que c'est ?

Le "Lucky Girl Syndrom" désigne un phénomène d'auto-persuasion finalement très basique. Il consiste simplement à se dire que l'on a de la chance quand de bonnes choses nous arrivent dans la vie. Il s'agit de se persuader que la vie nous sourit, pour qu'elle nous sourit en retour (quand bien même la chance n'aurait rien à voir là-dedans). Ca sent légèrement la superstition, mais pourquoi pas.

Entre les lignes, le "Lucky Girl Syndrome" est une manière positive d'envisager le hasard dans notre existence, et de croire en la possibilité du changement en de grosses périodes de doute. Pas si dérisoire donc.

Est-ce que ça marche ?

"Pour combattre le stress ou l'anxiété, nous essayons de changer nos doutes en pensées plus positives, ce qui altère notre façon de ressentir. Si vous pratiquez cette façon de penser activement, vous serez certainement d'humeur plus positive, vous réagirez différemment aux gens et ils vous répondront différemment en retour", analyse du côté de indy100 la psy Dr Samantha Weld-Blundell, qui voit là une philosophie de vie plutôt joyeuse.

S'il se base sur quelque chose d'abstrait (la chance et l'auto-persuasion), ce...

Lire la suite


À lire aussi

"J'ai mal comme jamais" : Enora Malagré, hospitalisée, témoigne de sa crise d'endométriose
Tom Cruise meurt-il au début de "Top Gun 2" ? Le réalisateur répond à cette folle théorie
L'inscription dans la Constitution de la "liberté" de recourir à l'IVG : une victoire ?