Colis : faut-il nécessairement imprimer l'étiquette pour Mondial Relay, Chronopost ou encore Point Relais ?
Même si les ventes résistent (2 millions d'appareils par an*), les imprimantes sont de moins en moins présentes dans les foyers Français. Les usages ont évolué : de l'ordinateur fixe au portable jusqu'au smartphone (87 % en possèdent un*) avec une simple connexion à Internet (92 %). À l'inverse, l'essor de l'envoi des colis pèse de plus en plus sur le marché*. "En 2020, les services postaux représentent 9,5 milliards d’objets adressés en France et à l’étranger (plis, colis, presse par circuit postal) pour un revenu de 15 milliards d’euros hors taxes". Il a donc fallu s'adapter et développer des solutions plus appropriées. Les transporteurs de colis ont finalement développé la possibilité d'envoyer un paquet sans nécessité préalable d'imprimer la fameuse étiquette à coller sur l'emballage. Certains, en 2023, d'autres, quelques années plus tôt déjà. Femme Actuelle détaille, pour chaque transporteur, l'engagement développé et qui prévoit de soulager le quotidien de milliers de Français.
La plupart des points relais proposant la solution d'imprimer sur place sont équipés d'appareils qui non seulement scannent mais aussi impriment l'étiquette (dans un petit format) instantanément. Les lockers, ces casiers de consignes automatiques, eux, sont dotés d'une imprimante.
D'après l'Agence de la transition écologique (Ademe), y recourir est un geste plus écologique que l'impression à la maison. "L’impression en Points Relais® d’une étiquette 10x15 thermique autocollante, c’est moins d’encre, (...)