Contraception définitive : « Je n’ai plus cette charge sur mes épaules », Léa 32 ans et heureuse

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En terme de contraception définitive, plusieurs techniques sont proposées pour un seul et même but : empêcher la rencontre entre les spermatozoïdes et l’ovule. La stérilisation se passe au niveau des trompes de Fallope. Elles sont soit ligaturées avant d’être sectionnées, soit électrocoagulées (avec un courant électrique) pour les couper ou encore, elles peuvent être pincées avec un anneau ou un clip. Les termes employés laissent penser à un acte barbare mais dans les faits, c’est une pratique bien maîtrisée, presque indolore puisqu’effectuée sous anesthésie générale. De plus, les suites opératoires ne sont pas très contraignantes, ni douloureuses, ni invalidantes.

Une dernière méthode appelée « occlusion progressive » consiste à placer un implant dans chaque trompe de Fallope. Au bout de trois mois, ils auront complètement bouché l’accès vers l’ovule. La mise en place est plus longue (une contraception est recommandée pendant les trois mois), mais il n’y a pas de cicatrice puisque le dispositif est inséré par le vagin (hystéroscopie). L’effet contraceptif n'est pas immédiat et au terme des trois mois, un contrôle est réalisé afin de s’assurer de l’occlusion.

Comment choisir entre ces différentes techniques ? D’après le site de gouvernement de la santé, il y a une première consultation médicale où le praticien détaille les différentes méthodes ainsi que les modalités, les conséquences et les risques éventuels ce qui vous permet de réfléchir. D'ailleurs, un délai de (...)

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