Cuisine : ce simple changement alimentaire pendant la cuisson pourrait prolonger votre vie

Jeune femme heureuse dans la cuisine à la maison

Consommées en excès, certaines matières grasses peuvent causer des maladies cardiovasculaires. D’autres, au contraire, sont nécessaires au fonctionnement du corps. En partant de ce constat, des chercheurs américains prouvent statistiquement que ce simple changement au moment de la cuisson réduit le risque de décès prématuré.

Tantôt solides ou liquides, animales ou végétales… il existe une multitude de matières grasses destinées à la cuisson. Pour rappel, les lipides, comme les glucides et les protéines, sont des nutriments indispensables à notre organisme : ils présentent des rôles multiples : composition des membranes de toutes nos cellules, participation à la fabrication d’hormones, stockage d’énergie dans le tissu adipeux, thermorégulation… Néanmoins, l’excès de lipides dans notre alimentation est délétère si l’alimentation est riche en « mauvaises graisses ». Mais que signifie ce terme exactement ? Selon les précisions de l’Assurance maladie, certaines matières grasses contiennent des acides gras non essentiels, en particulier « saturés » et « trans », qui augmentent, à terme, le risque de prise de poids, d'hypercholestérolémie et de maladie cardiovasculaire. A l’inverse, « d’autres graisses sont composées d’éléments bénéfiques comme les acides gras dits insaturés (oméga-3, oméga-6, oméga-9) indispensables à l'organisme. », précise-t-elle. L’enjeu est donc de savoir diminuer les matières grasses au quotidien dans la cuisine.

Voilà qu’une étude menée par des scientifiques de la Harvard TH Chan School of Public Health, du Mass General Brigham et du Broad Institute recommande un simple changement dans ce domaine : cuisiner avec de « bonnes » huiles végétales plutôt que du beurre. Publiée dans la revue...

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