Les débuts oubliés de Léa Seydoux dans une série marquante des années 2000 sur TF1
Dans les années 90 et 2000, les chaînes de télévision françaises ont gavé leurs productions maison. Des séries policières mais pas seulement, qui, si elles ne brillaient pas par leurs qualités, ont permis à de nombreuses graines de stars de faire leurs débuts. Vincent Cassel dans Le juge est une femme, Audrey Tautou dans Les Cordier, juge et flic, ou encore Leïla Bekhti dans Madame le proviseur... Mais aussi Léa Seydoux dans Père et maire. Eh oui !
Les débuts timides de Léa Seydoux sur TF1
Petite-fille de Jérôme Seydoux, patron de Pathé, et petite-nièce de Nicolas Seydoux, PDG de Gaumont, Léa Seydoux ne pouvait pas ne pas devenir comédienne. Pourtant, "enfant, je suis allée sur des tournages avec eux et j'ai rencontré des acteurs. Mais j'étais une petite fille pudique, timide, très réservée. Je ne pensais pas à cela", explique-t-elle en 2012 dans Le Nouvel Obs. Ado, Léa songe à devenir chanteuse d'opéra. Mais c'est bien le théâtre qui l'aide à combattre sa timidité maladive. Elle quitte le lycée sans son bac en poche, prendre des cours de théâtre et décroche en 2004, à 19 ans, son tout premier rôle. Le 1er septembre 2004, on peut donc la voir dans le premier épisode de quatrième saison de Père et maire. Une série qui fait alors les beaux lundis soir de TF1. Bon, il s'agit plus de la figuration qu'autre chose, puisqu'elle est créditée en tant "lycéenne". Une preuve ? Oui, ici. La suite, pour Léa Seydoux, c'est une apparition (...)
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