Découvrez l'alimentation surréaliste des athlètes des JO de 1896

L'université Oberta, située en Catalogne a mené une étude sur l'évolution de l'alimentation des athlètes durant les Jeux Olympiques (JO). Les chercheurs ont démarré leurs recherches depuis les JO de 1896 à Athènes, et parleront même des futurs JO de Paris, à l'été 2024. 1896 marque la première année des Jeux Olympiques dits "modernes".

"Manger des pattes de chèvre pour avoir la force d'un bouc"

Lors des JO de 1896, les croyances étaient encore basées sur les mythes antiques grecques. Les athlètes faisaient perdurer les anciennes traditions. En effet, "ils mangeaient des pattes de chèvre pour avoir la force d'un bouc", précise l'une des chercheuses de l'université catalane. À l'époque, il n'y avait pas de villages olympiques. Aujourd'hui, les choses ont totalement changé : 50 000 repas sont préparés chaque jour, des informations précises doivent être fournies sur la composition des aliments et il faut inclure des options végétariennes.

Une occasion de montrer au monde la cuisine du pays

Depuis des décennies, les pays se servent des JO pour promouvoir leur pays. Plusieurs pays ont saisi l'occasion et ont souhaité montrer au monde la qualité de leur cuisine. Tout d'abord, en 1964, au JO de Tokyo, c'est l'entraîneur japonais de l'équipe nationale de Volleyball féminine, qui va mettre en avant la nutrition. Après avoir remporté la médaille d'or, il va déclarer que les joueuses mangeaient essentiellement des boulettes de riz et du poisson. (...)

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