Démence : une étude révèle son principal facteur de risque, et cette découverte va vous surprendre

Des chercheurs de l'University College de Londres suggèrent que le plus grand facteur de risque de survenue d’une démence n’est plus celui que l’on croit, à savoir le tabac ou un faible niveau d’éducation. La place revient à un autre facteur de risque connu mais jusqu’ici peu pris en compte.

La démence est un terme générique pour désigner un ensemble de symptômes qui touchent les fonctions cérébrales. Il s'agit d'une condition chronique qui s'aggrave avec le temps et qui se caractérise souvent par un déclin de la mémoire, des capacités de planification, du langage et du jugement et des changements physiques, notamment une perte de coordination et de contrôle de la vessie, des muscles faibles et raides ou encore des difficultés à se tenir debout, à s'asseoir ou à marcher. Il existe de nombreuses formes de démence (maladie d’Alzheimer, démence vasculaire, maladie à corps de Lewy, démence frontotemporale…), chacune ayant sa propre cause. Bien qu’ils ne comprennent pas encore entièrement ses causes, les chercheurs soupçonnent que certaines pourraient être attribuées à : des protéines anormales dans le cerveau, une réduction de l'apport sanguin au cerveau et/ou des cellules nerveuses du cerveau qui cessent de fonctionner correctement. La démence est incurable pour l'instant, mais certains traitements peuvent aider à soulager les symptômes des patients et ainsi améliorer leur qualité de vie.

Actuellement, plus de 55 millions de personnes sont atteintes de démence dans le monde selon l’Organisation Mondiale de la Santé. L’organisme précise qui plus est que le nombre de personnes atteintes s’accroît : ce problème touche plus de 55 millions de personnes (8,1 % de femmes et 5,4 % d’hommes âgés de plus de 65...

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