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D’après une étude, éjaculer au moins 21 fois par mois réduirait les risques de cancer de la prostate

Une autre bonne raison de se faire plaisir. [Photo : Pexels]
Une autre bonne raison de se faire plaisir. [Photo : Pexels]

Les gars : nous avons une bonne nouvelle pour vous.

Si vous éjaculez plus de 21 fois par mois, sachez que vous réduisez grandement vos risques de développer un cancer de la prostate.

D’après une étude récente publiée dans l’European Urology et menée en comparaison avec ceux qui ne le font que quatre à sept fois, libérer sa semence au moins 21 fois par mois permettrait de réduire significativement les risques de cancer.

Et cela fonctionne aussi bien pendant un rapport à deux que seul.

Après tout, c’est pour votre santé. [Photo : Pexels]
Après tout, c’est pour votre santé. [Photo : Pexels]

Les chercheurs de l’université d’Harvard ont analysé les données de 31 925 hommes en bonne santé qui avaient rempli un questionnaire sur leurs habitudes d’éjaculation en 1992.

Une fréquence d’éjaculation mensuelle a ensuite été calculée pour les 20-29 ans et 40-49 ans ainsi que l’année avant que le questionnaire ne soit complété.

Les hommes ont ensuite été suivis jusqu’en 2010, et durant cette période, 3 839 ont développé un cancer de la prostate.

Les chercheurs ont découvert que dans les deux groupes d’âges, ceux qui éjaculaient 21 fois par mois, en comparaison à ceux qui n’éjaculaient que 4 à 7 fois par mois, ont réduit de manière significative leurs risques de cancer.

Les chercheurs n’ont pas spéculé sur les raisons. [Photo : Pexels]
Les chercheurs n’ont pas spéculé sur les raisons. [Photo : Pexels]

« Ces résultats ont fourni des preuves supplémentaires concernant le rôle bénéfique de l’éjaculation tout au long de la vie adulte dans l’éthologie [la cause] du cancer de la prostate, et plus particulièrement une diminution des risques », ont déclaré les auteurs de l’étude.

Ils ont également ajouté : « Nous avons découvert que les hommes qui ont une fréquence d’éjaculation plus élevée durant leur vie d’adulte sont moins susceptibles de développer un cancer de la prostate. »

Alice Sholl