Déclic

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    Déclic - Juliette : "Grâce à ma maladie, je me rends compte de la valeur de la vie"

    Juliette souffre de la maladie de Crohn. Une maladie invalidante qui l’a fait plonger dans la dénutrition. Juliette a pesé jusqu’à 37 kilos pour 1M69. Après une opération et la pose d’une stomie, la jeune femme revit. Aujourd’hui, elle nous parle de son déclic, qui est une deuxième chance pour profiter de la vie. Interview : Lucile Bellan

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    Déclic - Laetitia : "Ce déclic m'a permis d'aimer un peu plus la peau noire que j'ai"

    Depuis qu'elle est "toute petite", Laetitia Ky se défrise les cheveux : "C'est quelque chose de tout à fait normal en Côte d'Ivoire. On défrisait tout le monde." Un jour, après avoir vu une vidéo sur Youtube, l'artiste a eu un déclic, laisser ses cheveux à l'état "naturel". "C'était incroyable, je ne comprenais pas comment c'était possible". Arrêter de se défriser les cheveux lui a permis de "devenir fière de ce qu'elle représentait". Interview : Lucile Bellan

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    Déclic - Vanessa (Gras Politique) : "Mon déclic à moi, c'est d'avoir arrêté les régimes"

    Engagée contre la grossophobie et membre du collectif Gras Politique, Vanessa a longtemps subi des préjugés sur son poids. Un combat contre les kilos dits "en trop" commencé dans l'enfance qui a accentué ses troubles alimentaires et l'a fait sombrer dans l'anorexie. Désormais libérée de ces injonctions, la jeune femme a décidé d'accepter son corps qui lui a "sauvé la vie". Vanessa raconte le déclic qui lui a permis d'enfin se sentir bien et d'oser porter des jupes. Interview : Lucile Bellan

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    Déclic - Aurélie Marchi : "J'ai eu le déclic quand je me suis rasé la tête"

    Aurélie Marchi avait un désir : se raser la tête. Une envie qui peut paraître sans conséquence mais qui devient politique dans nos société où la féminité est souvent résumée à des éléments esthétiques. Avec franchise, l'autrice de "La vénus se rebelle" (éd. Leduc) raconte comment ce geste l'a délivrée de certaines injonctions tout en lui assignant des prétendues sexualités et autres affinités sexuelles. Interview : Lucile Bellan

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    Déclic - Laura : "Je trouvais que les poils de ma petite amie étaient beaux"

    Comme de nombreuses femmes au cours de cette année, Laura a arrêté de s’épiler. La jeune femme a décidé de ne plus mener la guerre à ses poils pour des raisons esthétiques et politiques. Elle a même incité sa petite amie à zapper cette étape de son intimité et l'a rassurée en lui avouant qu'elle trouve ses poils très beaux. Laura revient sur ce déclic. Interview : Lucile Bellan

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    Déclic - Émilie : "J'ai été victime d'un pédocriminel et c'est la thérapie par l'hypnose qui a fait ressurgir ça"

    Émilie Fruaut souffrait de nombreux problèmes respiratoires. Elle décide d'aller consulter un médecin généraliste pour soigner ses maux. Après une batterie de tests, ce dernier n'arrive pas à trouver la source de ses problèmes. Elle est réorientée vers une médecin psychiatre qui la soumet à une thérapie par hypnose. C'est à ce moment-là que le traumatisme ressurgit : enfant, elle a été victime d'un pédocriminel. Epaulée par ce médecin, Emilie Fraut explique comment elle a réussi à convertir son

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    Déclic - Kelsi Phung : "En étant non-binaire, on a l'impression de devoir se justifier de sa propre identité. C'est déshumanisant"

    Déménagement, prise de conscience écolo, virage professionnel ou sentimental : avec "Déclic", Yahoo a décidé de donner la parole à tous ceux qui, un jour, ont osé changer de vie. Parfois du jour au lendemain. Par amour, par conviction ou simplement par envie.Kelsi Phung a découvert sa non-binarité pendant ses études. L'artiste queer et réalisateur raconte son Déclic à Lucile Bellan. Si vous aussi vous voulez raconter vos déclics, vous pouvez envoyer un message à cette adresse : lucilebellan@gmai