Disparition de Lina : sac à main, “ADN de contact”, itinéraire étrange… Ces nouveaux éléments qui intriguent

Le 26 juillet 2024, l’annonce du procureur de la République avait fait l’effet d’une bombe. Après dix longs mois sans la moindre piste, les enquêteurs de la section de recherches de Strasbourg ont fait une “avancée majeure” dans l’affaire de la disparition de Lina : l’ADN de l’adolescente a été retrouvé dans une voiture volée, conduite par un certain Samuel G., désormais principal suspect. Si l’on en sait aujourd’hui un peu plus sur le profil de ce quarantenaire originaire de Besançon, peu de précisions avaient été faites concernant les découvertes dans la fameuse Ford Puma. S’agissait-il de sang ? Dans quelle partie du véhicule ces traces ADN ont-elles été retrouvées ? D’autres éléments ont-ils été découverts ? Ce sont finalement nos confrères du journal local Dernières nouvelles d’Alsace qui en dévoilent un peu plus sur l’avancée de l’enquête, dans un article paru ce samedi 7 septembre 2024.

On apprend ainsi qu’aucune trace de sang n’a été retrouvée dans la voiture de Samuel G., “ni dans l’habitacle ni dans le coffre”, mais de “l’ADN de contact” qui a été prélevé sur la ceinture de sécurité de la place passager arrière droite ainsi qu’un “élément pileux”. Cela signifie que Lina s’est assise sur la banquette arrière, sans que l’on sache encore si elle est montée de son plein gré dans le véhicule. Plusieurs indices tendent à prouver le contraire, notamment l’arrêt brutal du signal de son téléphone, qui ne peut être dû qu’à une destruction ou un retrait volontaire de la batterie. (...)

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