Son enfance au Québec, le mouvement #MeToo… Mylène Farmer se confie
Après avoir assuré trois dates parisiennes au Stade de France, Mylène Farmer se confie lors d’un entretien fleuve avec « Paris Match ».
Les 27, 28 septembre et 1er octobre dernier, Mylène Farmer a assuré un show grandiose au Stade de France, à Saint-Denis, devant près de 230 000 spectateurs au total. De quoi confirmer un peu plus la renommée de l’artiste aux 30 millions de disques vendus dans le monde. Cette semaine, dans les colonnes du magazine « Paris Match », elle s’est livrée sans fard sur sa carrière, ses fans, mais aussi sur des sujets plus personnels comme son enfance passée au Canada. En effet, la chanteuse, qui confie être « épuisée, heureuse, émue et bouleversée » après ses dates parisiennes, est née et a passé les huit premières années de sa vie au Québec, avant que sa famille ne rentre en France.
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Elle affirme notamment avoir « des souvenirs confus » sur son enfance : « Des étendues blanches et silencieuses. J’étais dans une école religieuse avec des sœurs qui n’étaient pas toutes sympathiques. Et un long, très long voyage en mer pour rejoindre la France. J’ai compris alors ce qu’était le mal de mer. Au-delà de ces images, c’est le trou noir. Pas ou peu ou plus de souvenirs. » Interrogée sur la place de la religion dans sa vie, elle poursuit : « Il m’est arrivé de lire la vie de sainte Thérèse de Lisieux, de lire la vie de Padre Pio. [...] Et bien d’autres encore. Et c’est vrai que j’aime les cimetières et les églises, qui sont des lieux calmes où je me sens...
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