Leurs enfants après eux : 4 choses que vous ne saviez sans doute pas sur Angelina Woreth, révélation du film
Dans la longue liste des jeunes actrices françaises à suivre, le nom d'Angelina Woreth résonne particulièrement. Après avoir fait ses débuts devant une caméra à l'âge de 18 ans, la jeune comédienne commence à enchaîner les rôles de plus en plus marquants. On l'a vue dans Les Rascals, Ma vie ma gueule, et la mini-série Fortune de France, elle incarne Steph dans Leurs enfants après eux de Ludovic et Zoran Boukherma, l'adaptation du roman de Nicolas Mathieu, prix Goncourt en 2018. Dans cette chronique sur l'adolescence des années 90 dans une petite ville de l'est de la France, elle donne la réplique à Paul Kircher, lui aussi une graine de star. Mais qui est-elle vraiment ?
Une enfance sous le signe de l'art
Angelina Woreth est née en 2000 à Paris, mais c'est à Montreuil qu'elle grandit avec ses deux grandes sœurs, Lila et Carmen. Son père, Eric, est scénariste et réalisateur (Les Petits meurtres d'Agatha Christie, Un si grand soleil), quant à sa mère, Nena, elle est artiste-peintre après avoir été costumière, designer et travaillé dans la maroquinerie. Ses parents se sont séparés quand elle avait 13 ans. Auprès de Libération, elle raconte avoir grandi dans un "univers excentrique, artistique, ouvert, au milieu de personnages hauts en couleurs".
Elle aurait aimé être chanteuse
Angelina baigne dans le monde de l'art et du cinéma depuis toute petite. Grâce à son père, "je suis souvent allée sur les plateaux et j’ai toujours admiré ce (...) "Le tue-l'amour ultime" : le trait physique que les femmes aiment le moins chez les hommes selon une étude
Vous prévoyez de partir en vacances cet hiver ? Voici le jour le moins cher pour voyager début 2025
Mélanie Laurent, une actrice très discrète : "Personne ne sait avec qui je suis ou qui sont les pères de mes deux enfants"
Lily-Rose Depp en mini-jupe et jambes nues par 5 degrés, elle ose le top en maille sans soutien-gorge
Le prince Harry ne compte ni quitter Meghan ni fuir les États-Unis : "C’est la vie que ma mère voulait pour moi..."