Essai BMW M5, la plus méchante des hybrides rechargeables

Ses points forts

Ce qu’Audi et Mercedes n’ont pas (encore) osé, BMW l’a fait : convertir une icône de la sportivité à l’hybride rechargeable. Chantre de la performance, la grande routière de la gamme M associe moteur thermique et électrique… une première depuis son apparition il y a 40 ans.

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Cette 7e génération maintient donc sa confiance à un V8 biturbo 4.4-litres… qui travaille désormais de concert avec une machine électrique de 197 ch couplée à une batterie de 18,6 kWh. Résultat : la bavaroise peut parcourir une soixantaine de kilomètres en mode « zéro émission »… à condition d’avoir le pied léger. Le principal intérêt de cette association contre-nature est d’abaisser drastiquement les consommations homologuées et, dans un pays comme la France, d’être exempté de malus écologique : 60 000 € dans le cas présent.

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Aux relances d’une rare virulence, cette super BMW ajoute une étonnante agilité, sans doute le fruit de son châssis optimisé, d’un train avant qui mord l’asphalte à pleine dent et de roues arrière directrices. © BMW

En atteignant la puissance cumulée de 727 ch pour un couple de 1000 Nm, la nouvelle M5 se fait plus véloce que jamais. Le 0 à 100 km/h est avalé à la vitesse de l’éclair et moins de 11 secondes lui sont nécessaires pour franchir le cap des 200 km/h. Aux relances d’une rare virulence, cette super BMW ajo...


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