Essai Cadillac Lyriq, une américaine à Paris
Ses points forts
Une Cadillac, ça ne peut pas passer inaperçue et de ce point de vue, cette Lyriq réalise une belle envolée. Intimidante, voire charismatique, la native du Tennessee, commercialisée aux Etats-Unis depuis 2022, en jette d’abord par ses proportions (5 m de long), mais aussi par sa calandre qui en dit long sur ses ambitions, sa signature lumineuse originale avec des feux qui épousent la forme du hayon et ses jantes de 21 pouces qui assoient son côté statutaire.
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L’habitacle surprend agréablement… non pas par son habitabilité somptuaire, fruit d’un empattement XXL (3,09 m), ni par sa soute géante à laquelle on accède en appuyant sur le logo Cadillac, qui sont dans les standards de la marque, mais par la qualité de sa fabrication et le soin porté à chaque détail. Cadillac ne nous avait pas habitué à autant de raffinements. De la splendide dalle incurvée de 33 pouces à l’élégant levier de vitesse cylindrique en aluminium, la Lyriq respire le travail bien fait. C’est cossu, valorisant et même si l’ergonomie prête encore à redire, l’atmosphère y est zen et conviviale.
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La Lyriq est dotée de deux moteurs (un sur chaque essieu) cumulant 528 ch et d’une batterie de 102 kWh. © www.weigl.biz
D’autant plus zen que cette américaine roule à l’électrique, un vrai pari pour un constructeur rendu célèbre par ses ...
