Essai Lotus Emeya, le nouveau vaisseau amiral de Lotus
Ses points forts
Renaître de ses cendres n’est pas un exercice facile, même lorsqu’une marque conserve une image positive dans l’imaginaire collectif. Synonyme de légèreté, de performance et de succès en formule 1, Lotus a entrepris la démarche en tentant de s’adapter aux nouvelles exigences du marché. Après le grand SUV Eletre, c’est à l’imposante Emeya (5,14 m) de se lancer à l’assaut du mini secteur des berlines électriques à plus de 100 000 €.
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Esthétiquement, l’hyper GT sino-britannique réussit son entrée. Avec son aérodynamique poussée à l’extrême (Cx de 0,21), elle ne passe pas inaperçue. Calandre active à l’avant (les volets s’ouvrent automatiquement pour refroidir le moteur), poignées de porte affleurantes sur les flancs, bandeau lumineux à l’arrière et rétroviseurs caméra en option… au passage d’une Emeya, le temps semble suspendre son vol.
Plus spectaculaire encore, sa technologie embarquée s’en remet à deux moteurs électriques à la puissance cumulée colossale (612 ch et jusqu’à 918 ch sur la version R, vendue 154 090 €), associés à une batterie XXL (98,9 kWh) à la capacité de charge hors norme (350 kW en courant continu). Dans le meilleur des cas, cette Lotus peut donc retrouver 80% de son autonomie en 20 minutes.
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En plus d’une transmission intégrale permanente, la ravissante fleur de Lotus reçoit une suspension pneumatique active ...
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