FEMME ACTUELLE - Comment voter par procuration ?
C'est la ruée sur les procurations depuis l'annonce des élections législatives anticipées. Si vous ne connaissez personne pour voter à votre place, une solution est toujours possible.
C'est la ruée sur les procurations depuis l'annonce des élections législatives anticipées. Si vous ne connaissez personne pour voter à votre place, une solution est toujours possible.
Gabriel Attal a écourté un déplacement de campagne vendredi dans le Rhône, où il n'a pas visité comme prévu une école incendiée par des mineurs, après un différend entre la députée sortante Renaissance et le maire LR de la ville soutenu par un candidat proche de Laurent Wauquiez.Le Premier ministre, chef de campagne de la majorité sortante aux élections législatives, effectue dans le Rhône son dernier déplacement avant le premier tour dimanche, en soutien de quatre candidats.Il devait visiter à Meyzieu l'école primaire Marcel Pagnol, où deux salles de classe ont brûlé le 19 juin. Des images, montrant des adolescents saccageant les lieux, avaient été mises en ligne sur les réseaux sociaux. Deux mineurs, âgés de 13 ans, ont été interpellés et seront jugés pour "dégradation volontaire par moyens dangereux".Gabriel Attal a finalement renoncé à cette visite. "Les conditions n'étaient pas réunies pour nous accueillir", a expliqué son entourage.Le maire Les Républicains de la ville, Christophe Quiniou, n'a pas ouvert les portes, déplorant avoir été informé au dernier moment de la visite de M. Attal, selon une vidéo publiée par l'entourage de la députée sortante et candidate Renaissance de cette 13e circonscription, Sarah Tanzilli qui, elle, assure l'avoir appelé à 17H30 jeudi.Le maire "a préféré défendre son candidat et son parti plutôt que de défendre sa commune", a déploré devant la presse Mme Tanzilli."Informé la veille d'un déplacement, prévenu de l'horaire 20 minutes avant. J'arrive en courant, Et finalement il ne vient plus. Désorganisation de campagne ou désintérêt pour l'école Marcel Pagnol, Gabriel Attal ?" a écrit ensuite sur X le maire de Meyzieu.Le candidat LR Philippe Meunier, adversaire de Mme Tanzilli, proche du président LR de la région Laurent Wauquiez, a fustigé sur X un Premier ministre "qui fait campagne en instrumentalisant l'incendie d'une école" et exprimé son "dégoût".Lors d'un point presse, Gabriel Attal a appelé les électeurs de la "gauche sociale-démocrate" et de la "droite républicaine gaulliste" à voter pour son camp, fustigeant le Rassemblement national, donné favori, dont la perspective de victoire "déchaîne quelque part certaines pulsions de haine".are-mlv/sac/sla
Le président démocrate de 81 ans, comme alourdi par le poids des années, est complètement passé à côté de son débat contre Donald Trump. Alors que le camp démocrate panique, se pose la question de trouver un potentiel remplaçant pour la course à la Maison Blanche.
Alors que le Rassemblement National (36%) domine sans partage les intentions de vote, loin devant le Nouveau Front Populaire (29%) et la majorité présidentielle (21%), selon le dernier rolling Ifop-Fiducial de ce jeudi, retour sur les estimations des principaux instituts, lors des dernières élections il y a 2 ans.
Premier duel entre le président démocrate et son prédécesseur républicain, le débat organisé par CNN ce jeudi 27 juin a tourné à l'avantage de Donald Trump. Peu de points programmatiques ont été abordés, les deux hommes s'invectivant pendant plus d'une heure et demie.
Lors de ce premier débat de la présidentielle américaine, le président des États-Unis, âgé de 81 ans, n’est pas parvenu à rassurer sur son état de santé. Au contraire.
Un peu plus de 4010 candidats sont en lice dans les 577 circonscriptions à l’occasion du premier tour des élections législatives qui a lieu ce dimanche 30 juin.
Président gaga ? - Jeudi soir, le président Biden et le candidat républicain, l’ancien président Trump, se sont affrontés lors du premier débat télévisuel de la campagne 2024 pour la Maison-Blanche, avec quelques doutes côté démocrate
Quelque 61 millions d'Iraniens sont appelés, vendredi 28 juin, aux urnes pour une élection présidentielle dont l'issue s'annonce incertaine en raison de la percée d'un réformateur, Massoud Pezeshkian, face à des candidats conservateurs divisés. L'envoyé spécial de France 24 à Téhéran, Karim Yahiaoui, a rencontré des Iraniens dans les bureaux de vote et a recueilli leurs témoignages.Lire la suite sur FRANCE 24
"Je peux faire le boulot": Joe Biden s'est efforcé vendredi de faire taire la musique sur un possible retrait de sa candidature à la présidentielle, après un calamiteux débat face à Donald Trump qui a ébranlé ses partisans et fait réagir les médias.Pas question de retrait de candidature, donc, pour un président presque méconnaissable vendredi, après les 90 minutes pénibles qu'il a passées jeudi soir face à son rival républicain de 78 ans, entre mots avalés, phrases inachevées et expression hagar
Les opérations de vote ont été prolongées vendredi jusqu'à 20h00 (16h30 GMT) en Iran pour une présidentielle dont l'issue s'annonce incertaine en raison de la percée d'un réformateur face à des candidats conservateurs divisés.Seuls 49% d'entre eux avaient voté à la présidentielle de 2021, pour laquelle aucun candidat réformateur ou modéré d'envergure n'avait été autorisé à concourir.
Hausse de la participation, baisse du nombre de candidats, répartition des votes sur trois blocs principaux... Autant de raisons pour lesquelles le nombre de triangulaires pourrait augmenter lors de ces élections législatives anticipées.
Selon notre sondage Odoxa-Mascaret, le Rassemblement national pourrait obtenir entre 265 et 305 sièges à l’issue du second tour. En face, le Nouveau Front populaire stagne à 27,5 % dans les intentions de vote au premier tour, le parti présidentiel se maintient aussi autour de 21 %.
Pendant 90 minutes, Joe Biden et Donald Trump ont débattu sur tous les sujets. Aucun des deux prétendants n’est officiellement investi par son parti respectif, mais le débat était très attendu. Une confrontation désastreuse pour Joe Biden qui est apparu diminué, mais qui ne devrait pas profiter à Donald Trump, estime le docteur en civilisation étasunienne Alexis Pichard.
Les Mauritaniens ont commencé à voter samedi 29 juin pour choisir leur président. Environ 1,9 million d’électeurs sont appelés à départager sept candidats. Le scrutin devrait réserver peu de surprises et offrir un second mandat au président sortant Mohamed Ould Ghazouani.Lire la suite sur FRANCE 24
La présidentielle en Iran se décidera le 5 juillet entre les candidats réformateur Massoud Pezeshkian et ultraconservateur Saïd Jalili, arrivés en tête d'un premier tour où la participation a été la plus faible depuis les débuts de la République islamique en 1979.Aucun des deux candidats n'ayant obtenu la majorité absolue, un second tour est nécessaire, pour la deuxième fois seulement en 14 élections présidentielles depuis 1979.
Depuis la dissolution surprise, plusieurs poids lourds de la majorité sont de retour sur le terrain pour défendre leur siège de député. Une campagne aux allures de sacerdoce pour celles et ceux qui incarnent la politique du chef de l’Etat, que certains électeurs rejettent. Dans la 6ème circonscription du Calvados, Elisabeth Borne est même surnommée, Madame 49.3.
Joe Biden s'est efforcé de faire taire la musique sur un possible retrait de sa candidature à la présidentielle, après un débat "calamiteux" face à son rival républicain qui a ébranlé ses partisans et fait réagir les médias. Peut-on dire que le débat a servi les intérêts de Donald Trump ? Que peuvent et doivent faire les Démocrates ? Éléments de réponse avec Reed Brody, ancien procureur général adjoint de New York. Il était l'invité de France 24.Lire la suite sur FRANCE 24
Après leur débat, au cours duquel Joe Biden n'a pas convaincu, Donald Trump a assuré, devant ses militants, ne pas "croire" en la possibilité que son rival jette l'éponge.
Le parti au pouvoir était en tête à l'issue des législatives de vendredi en Mongolie, d'après les premiers résultats fournis par des médias, malgré la lassitude face à la corruption et à la situation économique.Mais les inquiétudes restent vives à l'égard d'un pouvoir d'achat mis à mal par l'inflation (elle est actuellement de 7%) et par le sentiment chez nombre de Mongols d'une corruption généralisée.
Le second tour de l’élection présidentielle en Iran devrait opposer Massoud Pezeshkian et Saïd Jalili le 5 juillet. La participation a été très faible.