"Que de fois j'ai pleuré", Arielle Dombasle se confie sur ce qui l'a particulièrement blessée tout au long de sa carrière

Iconics, c'est le titre du nouvel album d'Arielle Dombasle, dont la sortie est prévue le vendredi 24 mai 2024. Un titre comme un symbole. Celui des icônes qui ont accompagné Arielle Dombasle tout au long de son parcours de femme et d'artiste. Parmi ces icônes, Barbie, une poupée qui a bercé son enfance. "Une conquérante planétaire ! Elle se permettait d’être astronaute, avocate, médecin, physicienne, championne de skateboard, championne de ski… Et moi, je rêvais !", nous a-t-elle décrit, au micro du podacst Femmes actuelles. Un modèle dont elle s'est inspirée mais qui a pu être réducteur pour la comédienne et chanteuse.

Arielle Dombasle a souvent été résumée à ses traits et à sa silhouette. "C’est vrai que j’ai beaucoup souffert, pendant des années, qu’on me réduise à la poupée Barbie, avec tous les sous-entendus que ça impliquait. Et puis je m’y suis habituée, et après je l’ai revendiqué. Mais tardivement. Quand j’ai tourné le film Les pyramides bleues, à l’âge de 26 ans, Le Nouvel Observateur avait titré 'La poupée Barbie fait son cinéma'. J’avais été tellement blessée, je me suis dit : 'J’aimerais être un camionneur avec des gros poings', pour arriver dans le bureau du rédacteur en chef, lui donner un coup de poing et lui dire : 'La poupée Barbie te dit bonjour'", s'est-elle remémoré.

Finalement, Arielle Dombasle a conclu qu'elle avait bien d'autres forces que ses poings. "Nous les femmes, heureusement, nous avons d’autres types de forces", assure-t-elle. Cela ne l'a pas sauvegardée (...)

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