"On a des frissons à la regarder !": cette icône de série télé des années 70 fait un défilé et envoie valser l'âgisme à 73 ans

Sur le tapis rouge de la Fashion Week, l'interprète iconique de Wonder Woman envoie valser l'âgisme et rend enfin visibles les stars septuagénaires.

73 ans et une leçon de style à la Fashion Week.

C'est non sans flamboyance qu'une icône des seventies s'est affichée sur le tapis rouge, parmi bien des égéries fashion : Lynda Carter, l'incarnation de Wonder Woman dans la série kitsch éponyme des années 70. Pour beaucoup, il n'y a qu'une seule et unique interprète de l'Amazone, celle qui botte des fesses et manie le fouet sans égale, et c'est de toute évidence la comédienne.

D'autant plus que ces dernières années, Lynda Carter, redoublant de popularité sur les réseaux sociaux et parmi les nouvelles générations, a également été érigée en icône queer, auprès de la communauté lesbienne. Mais c'est une autre lutte qu'elle a décidé de porter sur ses épaules olympiques lors du défilé Schiaparelli en pleine capitale : le combat sempiternel contre l'âgisme.

Autrement dit, l'exclusion des femmes post-quadras, de la scène professionnelle, des médias, de nos écrans. Un manque qui semble omniprésent. Ces grandes invisibles...

Une icône septuagénaire toujours "mythique" sur le tapis rouge : "j'en ai des frissons"

Femmes invisibles auxquelles l'Amazone donne de la voix.

A 73 ans, Lynda Carter est toujours mythique. Ses fans se réjouissent de sa dernière fulgurance fashion lors du défilé Schiaparelli : "Elle est incroyable", "Elle ne vieillit pas cette femme", "Elle est intemporelle", "J'ai des frissons rien que de la regarder", "Elle est trop belle", peut-on lire sur...

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