Comment gérer les choix capillaires des ados : conseils pour les parents
On croyait rester zen devant leurs délires capillaires, mais nos enfants nous en font voir parfois de toutes les couleurs, avec des choix de coupe de cheveux parfois surprenants. Résultat, on est tenté de se prendre la tête… à tort. Explications.
Long sur la nuque, court sur le crâne et les tempes… Quand Robin, 16 ans, a demandé à sa mère, Gwen, s'il pouvait adopter la coupe mulet, ça a été non. « Elle a de la chance que son fils sollicite son avis », réagit Léane, mère d'un ado, même âge, même dégaine. « Avec deux garçons, je croyais naïvement que, côté cheveux, ce serait plus simple qu'avec des filles ! » soupire à son tour Gwen, partagée entre rire et… désespoir.
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De son côté, Inès, 14 ans, s'est fait une buzz cut (vraiment très rasée). « C'est affreux ! s'écrie son père. Mais pas pire que pour son frère Clément qui, à 13 ans, essayait la permanente. » Aujourd'hui, avec sa coupe taper, très dense sur le haut du crâne, ce dernier confirme que les bigoudis, que l'on pensait d'un autre temps, ont bouleversé sa vie capillaire. Et achevé ses parents. « Je ne pouvais pas faire toutes les coiffures tendance des influenceurs », explique-t-il, ravi et persuadé que la permanente a changé la texture de ses cheveux. Comme lui, nombre d'ados squattent aujourd'hui les salons de coiffure pour se faire friser, les filles s'essayant plutôt aux couleurs. Pendant que des parents, eux, se font… des cheveux blancs.
A rebrousse-poil
On croyait pourtant avoir tout vu, ayant soi-même, adolescent, bravé le bon goût parental avec des mèches...