Gwendoline Hamon : la star de “Cassandre” se livre sur ce manque qui la suivra “jusqu’à sa mort”

Après presqu’un an d’absence, la commissaire Florence Cassandre a repris du service sur France 3 pour une nouvelle saison. Depuis le 30 mars 2024, Gwendoline Hamon a fait son retour sur le petit écran pour de nouvelles enquêtes palpitantes, diffusées tous les samedis soirs. À cette occasion, elle a accepté de se confier dans le podcast Dhombres et de lumières, édité par nos confrères de Télé-Loisirs. L’actrice est notamment revenue sur son enfance passée au Sénégal : une période très heureuse, qui a tout de même été marquée par une grande blessure. “Mes parents nous ont eues très jeunes avec ma sœur. Quand je suis née, ils avaient 18 et 19 ans. Mon père était un jeune provincial qui était en doctorat d’économie à Paris quand il a rencontré ma mère. Elle, elle venait d’une famille d’intellectuels”, raconte ainsi Gwendoline Hamon, en évoquant le souvenir de son grand-père, le célèbre dramaturge Jean Anouilh, et sa grand-mère Nicole Anouilh, également comédienne et metteur en scène. “Des gens biens, des gens chouettes.”

Lorsqu’elle est enfant, son père devient conseiller du Premier ministre sénégalais, Abdou Diouf, et est donc muté avec toute sa famille sur le continent africain. “Ma mère, enceinte de moi, avait raté son bac donc elle ne faisait pas grand chose, puis rapidement, elle a eu plein d’activités : créatrice de bijoux, brocanteuse... etc.”, confie Gwendoline Hamon dans cet épisode du podcast, à retrouver ci-dessus. Et d’ajouter : “Je ne serai pas du tout la même femme si (...)

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