“J’avais des nausées à l’idée de tenir une raquette de badminton” : l'espoir français Abdoullah Ait Bella n'a pas été retenu pour les Jeux Paralympiques, ses confidences

À l’approche des Jeux Olympiques et Paralympiques, l'excitation grimpe peu à peu. Au fil des compétitions, les athlètes valident leur qualification pour cet événement planétaire qui rassemblera près de 10.500 sportifs pour les Jeux Olympiques et 4.400 pour les Paralympiques. Si tous ont l'ambition de grimper sur la plus haute marche du podium, d’autres ont dû renoncer à leur rêve olympique dès la phase de qualification. C’est notamment le cas de la surfeuse Pauline Ado. Dans un post Instagram, publié en juin 2023, elle livrait sa déception. “Cela fait deux jours que je me repasse le film de cette journée dans ma tête. À chaque fois, j’ai la gorge qui se resserre et les larmes qui me montent aux yeux…”, écrit celle qui a porté la flamme olympique à Tarbes, en Hautes-Pyrénées. On peut citer aussi la nageuse Claire Supiot, athlète olympique puis paralympique, qui a finalement annoncé mettre un terme à sa carrière sportive face à son échec aux qualifications des Jeux Paralympiques de Paris 2024.

Face au vertige de la non-sélection, comment trouver la motivation pour renouer avec le sport de haut niveau ? “J’avais des nausées à l’idée de tenir une raquette de badminton”, témoigne le para-athlète Abdoullah Ait Bella auprès de Femme Actuelle. Le jeune homme de 23 ans a frôlé la qualification aux Jeux Paralympiques de Paris. Si le natif de Dunkerque avait mis tous les ingrédients pour représenter la France, une contre-performance, liée notamment au stress, a suffi à s'emparer de ses espoirs (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite