“J’ai beaucoup souffert qu’on me réduise à la poupée Barbie” : Arielle Dombasle se confie sur son parcours, les figures féministes qui l’ont forgée, son mari… (EXCLU)

Barbie, Bardot, Beauvoir. Des personnalités éclectiques, mais qui ont en commun d’avoir bousculé les codes, imposé une nouvelle image de la femme et qui sont devenues des icônes. Elles sont aussi au cœur du nouvel album d’Arielle Dombasle. Dans le bien nommé Iconics, l’artiste a choisi de rendre hommage à ces grandes figures féminines (et féministes) qui ont bercé son enfance et qui l’ont inspirée, “forgée” nous dit-elle. “Je crois que l’éthique de l’admiration est une chose très bonne en soi et que ce sont des fondamentaux qui vous font garder une ligne de conduite toute la vie”. Diamonds are forever, Blonde Venus, J’ai deux amours… Elle reprend ainsi des titres devenus emblématiques, tous chantés par des femmes, et qui n’ont pas été choisies au hasard. “J’ai voulu prendre des figures féminines triomphantes, qui ont fait avancer l’image de la femme” nous explique-t-elle. Arielle Dombasle, qui n’a elle non plus jamais suivi les codes, a répondu à nos questions en toute franchise sur ces icônes féministes qui l’ont fait grandir et qui ont fait d’elle une femme engagée, mais aussi sa fascination pour l’éternelle poupée Barbie, avec laquelle elle cultive la ressemblance, ou encore son mari, Bernard-Henri Lévy.

Femme Actuelle : Votre nouvel album, Iconics, rend hommage à de grandes figures féminines : Brigitte Bardot, Simone de Beauvoir, Joséphine Baker, Marlène Dietrich… Que vous ont-elle appris ou inspiré ces femmes ?

Arielle Dombasle : J’ai toujours vénéré et admiré de grandes figures (...)

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