Jeûne intermittent : une étude scientifique révèle de nouveaux effets bénéfiques sur la santé

Déjà plébiscités par des milliers de personnes, les effets du jeûne intermittent dans le cadre d’une perte de poids ne sont plus à prouver. Mais une étude scientifique révèle des bénéfices sur la santé, notamment le cœur.

Le jeûne intermittent est un de ces régimes alimentaires qui fait fureur. Et pour cause : il promet de perdre du poids sans grosse privation et de détoxifier son organisme au passage en mettant le système digestif sur « pause ». La forme la plus courante du jeûne intermittent est celle du 16/8. Quésaco ? Une période de huit heures où l’on peut manger, suivie de seize heures de jeûne. En général, les personnes arrêtent de s’alimenter après dîner et sautent le petit-déjeuner. Elles recommencent ainsi à manger le lendemain à 13h. Durant cette période, on a tout de même le droit de boire de l’eau, du thé ou du café. Une fois que l’on peut de nouveau avaler quelque chose, on mise sur une alimentation saine et équilibrée en évitant alcool, gras et sucre.

Si l’on connaît déjà les bienfaits du jeûne intermittent sur l’organisme (perte de poids, détoxification, soulagement des ballonnements…), une nouvelle étude a révélé d’autres effets bénéfiques sur la santé. Menée par des chercheurs de l’Institut des Maladies Métaboliques et Cardiovasculaires (I2MC), il s’agit de la première du genre qui s’intéresse aux effets à long terme du jeûne intermittent sur les maladies cardiovasculaires. « Nous avons voulu savoir s’il présentait un intérêt pour prévenir les pathologies cardiovasculaires comme le développement de plaques de cholestérol sur les artères (athérosclérose) », ont expliqué les chercheurs lors...

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