Quand Jean-Jacques Goldman était gérant d'un magasin de sport : ses confidences sur cette double-vie retrouvées dans une archive rare

Malgré sa stricte retraite médiatique, ses tubes résonnent encore à travers les générations. Fort de plusieurs dizaines de millions d'albums vendus – en tant qu'interprète mais aussi auteur –, Jean-Jacques Goldman a connu le succès grâce notamment à son tube Il suffira d'un signe en 1981. Un titre resté célèbre, avec plus de 500.000 exemplaires écoulés cette année-là, alors que le chanteur âgé de 30 ans gérait en parallèle de sa carrière d'artiste le magasin de sport de ses parents, une franchise de l'enseigne Sport 2000, à Montrouge en région parisienne. Une double vie que la star, à qui l'on doit S'il suffisait d'aimer de Céline Dion, évoquait dans une archive exhumée par L'Équipe, ce 4 novembre 2023. "Ma dernière fiche de paie remonte à décembre 1982. J'avais pourtant déjà sorti Il suffira d'un signe, Quand la musique est bonne et Comme toi. Il m'arrivait parfois d'enregistrer l'émission Champs-Élysées, de me démaquiller dans la voiture et de reprendre aussitôt ma place au magasin, mon vrai boulot", expliquait-il sur cette drôle d'époque, cité par nos confrères.

Dans les années 1970-1980, Jean-Jacques Goldman a travaillé durant sept dans la boutique de ses parents, sa mère Ruth Ambrunn et son père Alter Mojsze Goldman. L'interprète de Je te donne était alors déjà marié à sa première épouse, Catherine Morlet, et père de leurs deux premiers enfants, Caroline (1975) et Michael (1979). L'échec commercial de sa chanson Quelque chose de bizarre l'a fait hésiter : devait-il persévérer (...)

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