"Le Jeffrey Epstein de l’époque" : la mauvaise expérience d’Amanda Lear avec un célèbre producteur américain
Mannequin et muse de Salvador Dalí dans les années 1960, chanteuse de musique disco, animatrice, actrice… À 84 ans, Amanda Lear a vécu mille vies. Samedi 17 février 2024, sur le plateau de C l’hebdo, sur France 5, elle a déclaré qu'au cours de sa carrière, elle avait déjà eu le sentiment d'être traitée comme un objet. "C’est normal dans le showbizz… Vous savez quand on choisit ce métier, même mannequin, même avant de faire du cinéma et du théâtre, quand j’étais mannequin, les filles, on était traité comme des objets. Sois belle et tais-toi !", a-t-elle déclaré, avant de se remémorer : "Dès que j’ouvrais la bouche : 'Ferme-la', 'Montre tes dents', 'Souris'. On n'avait rien à dire ! On était des filles à photographier. Et c’est très humiliant". Par le passé, certains photographes auraient tenté de lui mettre la main aux fesses. "Maintenant, je sais ce qu’il faut faire. On s’en va, 'fou moi la paix', on s’en va !", s’est-elle exclamée.
Sur le plateau de l’émission présentée par Aurélie Casse, celle qui est heureuse de ne "rendre de compte à personne", a ensuite évoqué une expérience "assez désagréable" à New York avec un gros producteur de cinéma américain. "Le Jeffrey Epstein de l’époque avec la moustache, le cigare… Il m’a convoqué pour faire un bout d’essai. Après, il m’a appelé en me disant : 'J’ai les résultats de votre bout d’essai, on va en parler venez me voir dans ma suite à l’hôtel Plaza'. Donc, à trois heures de l’après-midi, j’ai sonné à sa porte et il m’a ouvert en pyjama (...)
