Une journaliste de TF1 raconte son diagnostic de toxoplasmose à 4 mois de grossesse

Garance Pardigon est journaliste et chroniqueuse dans l’émission “Bonjour !” sur TF1. Récemment, la jeune femme de 33 ans a dévoilé une partie de sa vie privée sur Instagram (Source 1), pour raconter une péripétie de début de grossesse dont elle se serait bien passée.

Je suis tombée enceinte à la fin de l’été, comme nous l’espérions. Coup de fil du labo 8 semaines plus tard : « vous avez attrapé la toxoplasmose ». La toxoplasmose, à 8 semaines de grossesse, c’est une vraie saloperie. Du genre qui tue l’embryon ou provoque chez lui des malformations graves et handicapantes”, raconte la journaliste, alors enceinte de son second enfant.

La chroniqueuse a dû subir une amniocentèse, à 4 mois de grossesse, pour savoir si son bébé était contaminé par la bactérie responsable de la toxoplasmose.

Une grossesse déjà très concrète

À 4 mois, c’est déjà très concret, une grossesse. On connaît le sexe du futur enfant, éventuellement son prénom, et surtout on le sent bouger, quotidiennement. Ma fille fait généralement sa gymnastique entre 4 et 6h du matin quand j’écris mes journaux. En cas d’avortement pour raison médicale, je devrais forcément accoucher, et si on le souhaite, déclarer son décès à l’état civil”, détaille Garance Pardigon sur son compte Instagram.

Décrivant une “guerre d’usure” loin d’un début de grossesse normal, la journaliste raconte avoir choisi, avec son compagnon, de garder tout cela pour eux, la grossesse...

Lire la suite