L'élu centriste Nicolas Jeanneté en garde à vue pour trafic de drogue

Nicolas Jeanneté a été placé en garde à vue ce lundi 20 mars, selon le Parisien. Le directeur du parti Les Centristes serait entendu dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte en août 2022 pour des faits de “trafic de stupéfiants” et “blanchiment”.

Qu’est-il reproché à Nicolas Jeanneté, vice-président du groupe d’opposition “Changer Paris” et directeur général du parti Les Centristes ? Ce lundi 20 mars, en fin de journée, l’élu a été placé en garde à vue dans le cadre d’investigations lancées par la brigade des stupéfiants depuis août 2022, d’après les informations du Huffington Post. Et ce, pour des faits de “trafic de stupéfiants” et “blanchiment”. Le beau-fils de Nicolas Jeanneté a, lui aussi, été placé en garde à vue pour “des faits de violences sur personne dépositaire de l’autorité publique survenus au moment de l’interpellation”, comme l’indique le Parquet de Paris. L’élu centriste se serait notamment fait livrer à domicile “des drogues de synthèse comme de la 3MMC”, selon le Parisien. Une drogue qui jouit d’une certaine notoriété dans les médias ces derniers temps, puisqu’elle a été mentionnée à maintes reprises dans le cadre de l’affaire Palmade, où il a été expliqué qu’elle était parfois consommée pour accroître le plaisir sexuel. D’après les informations du Parisien, Nicolas Jeanneté “revendait ensuite ces substances illicites à ses partenaires de soirées sexuelles”. Des allégations à mille lieux des propos tenus par l’homme politique en février qui avait exprimé son engagement en faveur de la prévention du chemsex (combiner la pratique du sexe et la prise de drogue, ndlr). “Depuis deux ans,...

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