L’endométriose serait aggravée par la pollution, un rapport alerte

Si les causes de l’endométriose n’ont pas réussi à être déterminées à l’heure actuelle, une récente étude vient de dévoiler que l’exposition à la pollution pourrait augmenter les risques de développer cette pathologie. Décryptage.

En France, près de 10 % des femmes en âge de procréer seraient concernées par l’endométriose, d’après le ministère de la Santé. Elle serait ainsi la première cause d’infertilité dans l’Hexagone. Si de nombreuses recherches sur le sujet sont en cours, le déclencheur de cette pathologie reste actuellement inconnu. Génétique ou défaillance du système immunitaire : plusieurs hypothèses sont déjà mises en avant, mais aucune n’a été pour l’instant confirmée. Les scientifiques continuent donc d’étudier les causes et les facteurs aggravants. D’ailleurs, récemment, une étude s’est intéressée à l’impact de la pollution sur l’endométriose. Un facteur déterminant qui augmenterait les risques de développer la pathologie ou qui l’aggraverait même.

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Un lien étroit entre endométriose et certains polluants notamment les PCB

Le 22 juin dernier, « le quotidien de l’écologie », « Reporterre » a publié une enquête en deux parties et s’est intéressé aux conséquences de la pollution sur l’endométriose. Un sujet trop peu abordé comme l’explique le média : « dans les trente-quatre pages de la stratégie nationale de lutte contre l’endométriose, lancée en février dernier par le ministre de la Santé, alors Olivier Véran, une seule mention est faite de 'facteurs environnementaux' dans l’apparition de la...

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