L’huîtrier pie, le guillemot de Troïl, la sterne pierregarin...zoom sur ces oiseaux marins

Cet oiseau de l'hémisphère Nord raffole des coquillages trouvés sur l’estran, la zone couverte puis découverte par la marée. Très habile, il a développé une méthode imparable : il écarte les valves avec son bec pour couper les muscles qui enferment le mollusque dans la coquille.

Amateur de poissons, de mollusques et de crustacés, ce pingouin noir et blanc se nourrit au large des côtes maritimes dans tout l'hémisphère Nord, y compris en France (en Bretagne). Petit (il pèse moins d'1 kilo) mais plus puissant qu'il n'y paraît, c'est un excellent nageur et un grand prédateur ! Sa technique de pêche ? Il vole généralement au ras de l'eau, et plonge jusqu'à 70 mètres de profondeur pour capturer ses proies en se propulsant avec ses ailes et ses pattes palmées.

A plus de 25 mètres de hauteur, il replie les ailes et fonce à toute vitesse droit dans la mer pour capturer ses poissons sous l'eau. Ses plongeons spectaculaires lui ont valu son nom de fou à pieds bleus, étant donné la couleur de ses pattes palmées.

Très répandue dans le monde, elle a le même vol rapide et la même queue fourche qu'une hirondelle. D'où son surnom d'hirondelle de mer. Cet oiseau de mer très élégant vit en colonie le long des côtes ou à l'intérieur des terres. Grande voyageuse, la sterne pierregarin hiverne dans l’hémisphère Sud jusqu’en Nouvelle-Zélande, et se reproduit au printemps dans les régions tempérées et subarctiques d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord. Elle se livre alors à des parades nuptiales spectaculaires, (...)

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