L’influenceuse Capucine Anav recadrée par une journaliste sur la promotion de « patchs anti-ondes »

La campagne « name and shame » de la répression des fraudes n’aura pas suffi à recadrer les mauvaises pratiques de certain·es influenceur·ses. Pointée du doigt par l’institution pour des pratiques commerciales trompeuses, l’influenceuse Capucine Anav a été rappelée à l’ordre par une journaliste de BFMTV.

Une séquence pour le moins gênante. Dans le sillage de la campagne « name and shame » récemment mise en œuvre par la Direction générale de la répression des fraudes (DGCCRF), le nom de l’influenceuse Capucine Anav était déjà sorti, ce vendredi 2 juin. Pointée du doigt pour s’être adonnée à des pratiques commerciales trompeuses, la jeune femme suivie par 1,6 million d’abonnés a une fois de plus fait parler d’elle en faisant la promotion d’un « patch anti-ondes » en direct sur BFMTV, ce dimanche 4 juin. Mais, la star de la téléréalité a rapidement été recadrée par la journaliste Aurélie Casse.

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L’absence d’étude scientifique concernant l’intérêt médical de ces « patchs anti-ondes » n’a pas empêché Capucine Anav de vanter ses mérites sur Snapchat. Conséquence, l’influenceuse doit partager sur son profil pendant une durée de trente jours une publication émanant de la DGCCRF. Sa principale erreur ? Faire la promotion de ces patchs « dont les propriétés et résultats ne sont pas démontrés par des éléments scientifiques probants ». Interrogée en direct par la journaliste Aurélie Casse, la jeune femme a assuré qu’elle avait « cessé ces pratiques » et qu’elle était désormais très attentive à ce qu’elle publiait sur ses réseaux sociaux.   « Ce n’était pas du tout dans...

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