Laurence Boccolini s’indigne face aux marques qui ne voulaient pas être associées à "quelqu’un de gros"

La mode, un univers impitoyable ? À l’occasion de la 77e édition du Festival de Cannes, de nombreuses personnalités ont foulé le tapis rouge dans des robes et des costumes haut de couture. Si Iris Mittenaere, Miss Univers 2016, y était présente, c’était également le cas d’Yseult. Vendredi 24 mai 2024, dans le cadre de sa chronique sur le plateau de Quotidien, sur TMC, Marc Beaugé a noté que si toutes les marques "rétropédalent sur l’inclusivité des corps et retournent aux canons de l’extrême maigreur", la chanteuse qui porte du 64 incarne l’inverse. "Son corps est à l'opposé de ceux des mannequins Dior de l'époque. Et alors ? Cette tenue-là montre qu'un corps plus size peut-être élégant", a-t-il assuré. Des propos qui ont tout de suite fait réagir Laurence Boccolini, présente ce soir-là. Et pour cause, vingt ans plus tôt, lorsqu’elle présentait Le Maillon faible, l’animatrice de 61 ans a fait du 64. "Je me rappelle que nous n'avions aucun styliste qui pouvait trouver des vêtements à ma taille, qu'on est obligés de les acheter à Londres", a-t-elle fait savoir.

Face à Yann Barthès et ses chroniqueurs, celle qui a succédé à Laurent Ruquier à la tête des Enfants de la télé s’est remémorée une anecdote douloureuse. "Pour un prime, on avait essayé d'avoir un collier, pas de vêtements, un bijou fantaisie d'un très grand couturier, juste prêté pour un prime. On n'avait jamais de réponse. C'est très étonnant. […] Et on m'a dit que la marque, ce n'est pas celle-là, ne souhaitait pas être (...)

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