Ces “lettres de soutien” que Cédric Jubillar reçoit en prison, de la part de femmes “qu’il ne connaît pas”

Depuis trois ans, la vie de Cédric Jubillar se résume à passer 23 heures sur 24 derrière les barreaux de sa cellule. Car malgré ses nombreuses demandes de remise en liberté, et la fin théorique du délai de détention provisoire, la justice estime qu’il existe suffisamment de preuves à charge pour maintenir le mari de Delphine Jubillar en prison jusqu’à la tenue de son procès. Depuis le 18 juin 2021, date de sa mise en examen pour le meurtre de son épouse, le peintre-plaquiste est donc incarcéré au quartier d’isolement à la maison d’arrêt de Toulouse-Seysses. Pas de contact avec les autres détenus, pas d’appel téléphonique, pas de visite au parloir… Une mesure restrictive prise pour protéger son intégrité physique : “Compte tenu de son niveau de médiatisation, tout le monde à Seysses connaît Cédric Jubillar. Et comme dans toutes les prisons de France, les personnes détenues dans des affaires de viol ou de meurtres de femmes se situent en bas de l’échelle sociale et peuvent se retrouver ciblées par les plus violents”, explique un “familier des lieux” à nos confrères du Parisien, dans un article paru ce jeudi 20 juin 2024.

Pour tromper la solitude, Cédric Jubillar a développé une certaine routine derrière les barreaux. Il pratique des séances de musculation quotidiennes, suit assidûment les compétitions sportives à la télévision, et passe son temps à se plonger dans l’univers fantastique et terrifiant des romans de Stephen King. Comme le précise le journal francilien, l’isolement prolongé (...)

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